[Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

takilasd · 27-11-2013 22:32

Des réserves secrètes pour le Cameroun contre La Tunisie !

Le Cameroun peut gagner son match contre La Tunisie en émettant les réserves suivantes :
1) Le niveau du championnat tunisien est très faible, et ne se distingue que par le bon niveau des trois joueurs étrangers autorisés à figurer respectivement dans chacune des équipes de ce championnat. Lesdits joueurs étrangers contribuent énormément à ces équipes de se qualifier aux tours finals des compétitions africaines, toutefois au détriment d'autres équipes africaines qui les opposent, démunies de leurs meilleurs joueurs évoluant en Europe.
2) La fédération qui régie ce championnat n'a aucune compétence ni aucun programme étudié pour améliorer le niveau de football ; l'interview de cet après-midi de leur président, dans une radio locale, n'est que la meilleure preuve.
3) La convocation caricaturale dernièrement de Hagui, Chermiti et Chikhaoui en équipe nationale, est une aberration prévue avec préméditation depuis des années ; les conséquences furent fâcheuses, avec les habituelles bourdes de cirque, il ne manquait que le gardien Mathlouthi pour égayer ce manège.
4) Les perpétuelles combines des arbitres pour la cause de deux ou trois équipes à forte influence d'élections politiques.
5) Les meilleurs stades se trouvent dans les villes les plus introduites avec les gouvernements.
6) La jeunesse est dépourvue du droit de la pratique du sport.
7) L'argent alloué aux équipes est distribué par favoritisme.
8) Le choix des joueurs sélectionnés en équipe nationale, se font par les fumeurs de narguilé dans les cafés de Tunis et de Sousse ; des vanupieds en général.
9) Le football ne se pratique plus dans terrains vagues se trouvant entre les des habitations, mais il est remplacé par l'achat au détail de cigarettes, et ce par les enfants et les adolescents auprès de commerçants dépendant d'un créneau devenu enrichissant, et composé de centaines de milliers des kiosques, s'agissant des appelés « vendeurs de fruits secs ». L'une des premières sources de mal (et de délinquance) de la jeunesse en Tunisie. Sans oublier les cafés, appelés de leur part élégamment, des salons de thé qui éloignent définitivement les jeunes de toutes les cultures, les enseignements et le savoir, et se rabattre sur des futilités.
10) La violence dès l'enfance se manifeste prématurément et s'accentue avec l'âge.
11) Pour se qualifier il faut le mériter, et pour le mériter il est nécessaire d'assainir les mentalités.

BILLCANNOIS · 29-12-2013 16:06

Le7met fi touzeur contre Marsa.... Barcha dharb.... des joueurs mil Marsa blessés....

anis taraji 1919 · 29-12-2013 16:17

BILLCANNOIS a écrit :

Le7met fi touzeur contre Marsa.... Barcha dharb.... des joueurs mil Marsa blessés....

berjoulia les zones de gabés , tozeur , metlaoui, kasserine , bouzid , et quelques places au nord ouest il faut trouver une solution pour leurs trouver un championant spécial entre eux , zayed ils jouent en ligue 1 , une honte pour le foot tunisien , que de la violence s, violences

BILLCANNOIS · 29-12-2013 16:19

anis taraji 1919 a écrit :

berjoulia les zones de gabés , tozeur , metlaoui, kasserine , bouzid , et quelques places au nord ouest il faut trouver une solution pour leurs trouver un championant spécial entre eux , zayed ils jouent en ligue 1 , une honte pour le foot tunisien , que de la violence s, violences

J'allais dire ça mais voulais pas être traiter de régionaliste lol

EST supporter · 29-12-2013 16:43

Les autorités concernées devraient sévir. La Palme de Tozeur jouera sans public d'ioci la fin de la saison. Le stade de Gabès qiu a connu des jets de pierres et de divers projectiles dont l'un a touché l'arbitre devrait fermer ses portes au public local et ce pour quelques semaines. Tous les stades qui connaissent des violences et des actes de vandalisme doivent être sanctionnés

tarajjidawla · 29-12-2013 17:15

BILLCANNOIS a écrit :

J'allais dire ça mais voulais pas être traiter de régionaliste lol

@Bill et anis : je ne partage pas votre avis et c'est bel est bien du régionalisme.
Nous avons vu des dérapages à Tunis ( EST-CSHL , CA-Zamalek) à Sousse (CL2012) et partout en Tunisie.
Les dérapages ne dépendent pas de l'endroit (Nord-Sud-Est-Ouest) mais plutôt de la mentalité des Tunisiens qui est devenu la même après cette pseudo révolution de ....

anis taraji 1919 · 29-12-2013 17:39

tarajjidawla a écrit :

@Bill et anis : je ne partage pas votre avis et c'est bel est bien du régionalisme.
Nous avons vu des dérapages à Tunis ( EST-CSHL , CA-Zamalek) à Sousse (CL2012) et partout en Tunisie.
Les dérapages ne dépendent pas de l'endroit (Nord-Sud-Est-Ouest) mais plutôt de la mentalité des Tunisiens qui est devenu la même après cette pseudo révolution de ....

il y a une grande différence entre des incidents dans un stade et se faire attaquer sur les routes ( ce qui es arrivée aux nôtres par exemple à gafsa ou kasserine en 2009 ) si dire une vérité sa deviens regionaliste alors je le suis vraiment , jouer au sud ouest , au centre ouest , et nord ouest de la tunisie c connue depuis belle lurette que C un voyage à risque , sans oublier le deplacement à bizerte ( le pont et zarzouna )

PS : ( Est vs Hamhama ) j y étais et ce sont les flics les responsables de tt ce qui C passé , sans y revenir sur cette histoire ça fais partie du passée maintenant

tarajjidawla · 29-12-2013 18:26

anis taraji 1919 a écrit :

il y a une grande différence entre des incidents dans un stade et se faire attaquer sur les routes ( ce qui es arrivée aux nôtres par exemple à gafsa ou kasserine en 2009 ) si dire une vérité sa deviens regionaliste alors je le suis vraiment , jouer au sud ouest , au centre ouest , et nord ouest de la tunisie c connue depuis belle lurette que C un voyage à risque , sans oublier le deplacement à bizerte ( le pont et zarzouna )

PS : ( Est vs Hamhama ) j y étais et ce sont les flics les responsables de tt ce qui C passé , sans y revenir sur cette histoire ça fais partie du passée maintenant

@Anis: tu viens de confirmer mes dires cher ami. Le déplacement à Bizerte bien que c n'est pas le sud ou sud ouest ou "manatek idholl" comme in dit a toujours été périlleux pour nos fans alors que Bizerte est une ville dont le niveau de vue et plus ou moins proche de la capitale ou les grandes villes tels que Sousse et Sfax.
Tu confirme ce que j'ai dis. Le sud tout comme le nord ouest a souffer de négligence depuis l'indépendance et c aujourd'hui ils ne doivent même pas faire partie de la même ligue que les "gens biens" c un peu régionaliste quand même
Bref le bien et le mal existe partout, essai de jouer à Mallessine et tu aura l'impression d'être dans une autre ville avec tous mes respects aux gens de Mallessine et aux fans du COT qui etait un grand club qui a donné plusieurs joueurs au foot tunisien.

takilasd · 15-01-2014 17:12

Peu d'espoir de voir le football tunisien prévaloir ;
Après les interminables déboires ;
A faire pleurer dans les chaumières sans mouchoirs ;
Que tout le monde feignent de ne pas s'en apercevoir ;
Préservant les mauvais gestes dérisoires ;
Entremêlés de parti-pris usurpatoire ;
Qui n'ont qu'un seul sens contradictoire ;
Avec des réflexions superfétatoires ;
Soit devant les télés ou les comptoirs ;
Que de provoquer des fièvres sudatoires ;
En nageant vers l'aléatoire ;
Sans agenda ni répertoire ;
Aucune analyse aucun réquisitoire ;
Seulement la même rengaine rédhibitoire ;
Oubliant le naturel et le prémonitoire ;
Au profit de l'imprécatoire ou le purificatoire ;
Selon le genre de l'auditoire ;
Pour simuler le péremptoire ;
Avec des mimes, des gestes, des clins d'œil ostentatoires ;
Mettant en doute leur oratoire ;
De grâce arrêtez votre abrogatoire ;
Au profit de l'absolutoire ;
Et des rétablissements à asseoir ;
Avec la contribution des aptes directoires !

BenM'radMachouche · 30-01-2014 12:10

IFFHS: Le championnat tunisien est 1er en Afrique

Posté le 30 janvier 2014 par Rédaction FootPlus

L'IFFHS (International Federation of Football History & Statistics) vient d'annoncer le classement du meilleur championnat national du monde.

Le championnat tunisien est classé 31ème, mais premier en Afrique et second parmi les championnats arabes.

En effet, le championnat d'Arabie Saoudite de football est le premier parmi les arabes, second en Asie et 24ème mondial avec 519 points. La Tunisie est le 2ème meilleur championnat arabe avec 462 point, devant l'Egypte (3ème) et le Maroc (4ème).

Voici la liste des premiers championnats du monde selon le site officiel de l'IFFHS:

Place 2012 Country Points

1 (1) Spain 1155

2 (5) England 1128

3 (3) Germany 1056

4 (4) Italy 927

5 (2) Brazil 896

......

24 (28) Saudi Arabia 519

30 (27) Japan 469,5

31 (42) Tunisia 462

BenM'radMachouche · 03-02-2014 11:13

Ligue 2 : Youssef Srairi agressé par un supporter !
Posté le 3 février 2014 par Rédaction FootPlus

La rencontre disputée dimanche entre l'Olympique de Sidi Bouzid et l'Espérance Sportive de Zarzis dans le cadre du championnat de Ligue 2 a connu un dénouement indigne et lamentable.

En fait, à la 86è, un supporter de l'équipe locale, a procédé à l'agression de l'arbitre Youssef Srairi qui a décidé suite à quoi d'arrêter le match.

Après, c'est tout un climat de chaos qui a régné au stade de Sidi Bouzid et le président de l'ESZ ainsi que deux joueurs ont été victimes d'actes de violence perpétrés par le public local et c'est grâce à l'intervention des forces de l'ordre que la situation a été finalement maitrisée.

A noter que Srairi compte porter plainte contre le supporter qu'il l'a agressé.

Youssef Mkachakh · 11-02-2014 09:13

BenM'radMachouche a écrit :

USMO : La municipalité ferme l'annexe du stade Ben Jannet
Publié le Lundi 10 Février 2014 à 23:48
La municipalité de la ville de Monastir a décidé, lundi, de fermer l'annexe du stade Ben Jannet en raison des travaux qui y seront effectués. Selon Shems FM, les Usémistes joueront leurs prochains matchs de championnat dans le second annexe du stade.

loooool w Allahi chay idha7k

SCARFACE TM · 11-02-2014 09:56

Youssef Mkachakh a écrit :

loooool w Allahi chay idha7k

d'ici la fin de la saison leurs matchs se joueront 4 7ajrat fel kayyés wala 3roussa carrément !

c'est quoi ce championnat.. arrêtez cette mascarade ! si nous n'avons pas de stades de foot jouons au hand, au golf aux échecs wala 5arbga w yezzi fih el barka.. annexe à coté de l'annexe du parking de dar chébéb de ksar hlél quelle misère ce pays !

BenM'radMachouche · 11-02-2014 11:56

SCARFACE TM a écrit :

d'ici la fin de la saison leurs matchs se joueront 4 7ajrat fel kayyés wala 3roussa carrément !
c'est quoi ce championnat.. arrêtez cette mascarade ! si nous n'avons pas de stades de foot jouons au hand, au golf aux échecs wala 5arbga w yezzi fih el barka.. annexe à coté de l'annexe du parking de dar chébéb de ksar hlél quelle misère ce pays !

walla 7atta Même un tréteaux et par dessus une planche en bois aggloméré, pour faire une table de noufi ou hamra kahla
dans un coin perdu à la sauvette kkkkkkkkkkkkk

Dernière modification par BenM'radMachouche (11-02-2014 11:56)

UltraSlan · 11-02-2014 13:09

Où allons-nous? c'est quoi ce bordel ??!!
CSS joue à Tunis (Menzah)
CAB joue à Tunis (Menzeh)
CSHL joue à Tunis (Zouiten)
USM joue dans l'annexe de l'annexe (led 3am moula el bach ...)

et on demande à nos équipes de remporter la champions leaugue et la coupe de la CAF et par la suite aller au mondial ...
???!!!

BenM'radMachouche · 12-02-2014 13:56

Coordinateurs médias - Règles élémentaires à respecter...

Travailler dans les stades est devenu un parcours du combattant pour les journalistes
Sous d'autres cieux, les journalistes sportifs trouvent normalement leur chemin à la salle de la conférence de presse d'après-match. Car dans les championnats professionnels, on ne badine pas avec les conditions de travail des journalistes, qui, après la rencontre, n'ont qu'à se diriger vers la zone mixte pour recueillir les déclarations des joueurs.

Il y a bien entendu des exceptions : des mauvais perdants qui refusent de s'adresser à la presse. Toutefois, personne ne ferme la salle de conférence au nez des hommes de la plume. Chose à laquelle nous avons assisté bizarrement au stade Abdelaziz Chtioui de La Marsa après le coup de sifflet final du match ASM-ESS.
Un incident qui mérite qu'on revienne dessus.
Alors que l'entraîneur marsois Adel Sellimi et l'entraîneur-adjoint étoilé, Ridha Jday, ont accepté de faire des déclarations dans un couloir exigu, Roger Lemerre a exigé de parler aux médias dans le cadre de la conférence de presse, ce qui est du reste logique.

Vingt minutes de négociations
L'entraîneur de l'Etoile et les journalistes étaient coincés dans le hall à attendre. Tout le monde voulait aller à la salle de conférence que le coordinateur médias de l'ASM a décidé de laisser fermée.

Après de longues négociations qui ont duré une vingtaine de minutes, le monsieur a accepté de l'ouvrir et la conférence a pu enfin avoir lieu dans un espace sombre, l'éclairage n'étant pas fonctionnel. Avant de parler du match, le technicien français a tenu à s'expliquer : «Si j'ai exigé une salle de conférence, c'est que, pour moi, l'information doit être donnée à tout le monde. Pour moi, il n' y a pas d'ostracisme vis-à-vis d'une presse à l'autre. Je n'ai pas à me déplacer dans un hall exigu.

Il faut quand même qu'on reçoive les gens comme vous, hommes de médias, normalement afin que vous puissiez travailler dans la quiétude et dans un endroit approprié. Je suis heureux que vous soyez tous là. Je suis à vous», a déclaré aux médias un Roger Lemerre disponible et souriant.

A vrai dire, celui qu'on avait vivement critiqué du temps où il était sélectionneur de l'équipe de Tunisie, a raison sur ce point. S'il y a des reproches à faire, c'est aux deux coordinateurs médias de la FTF et à celui de l'ASM. Les deux premiers ont jugé bon que Lemerre n'avait qu'à faire sa conférence dans le hall alors que le troisième qui avait les clefs, refusait d'ouvrir la salle.

Franchement, les journalistes présents sur place et Roger Lemerre auraient aimé ne pas vivre cet incident déplorable. Lors du match JSK-CA comptant pour la 14e journée, les représentants des médias ont eu également du mal à faire leur travail à cause de la mauvaise coordination.
Il est temps qu'on applique les règles élémentaires régissant le travail des médias après les matches, à commencer par aménager des salles pour la conférence de presse, les ouvrir et s'assurer que l'éclairage fonctionne.
C'est le minimum requis!

Walid NALOUTI le : 12-02-2014
lapresse.tn

BenM'radMachouche · 14-02-2014 12:14

Dirigeants sportifsUn métier qui s'apprend !Un métier qui s'apprend !

Le vécu et la notoriété ne suffisent pas pour diriger un club sportif. Où est donc la formation appropriée?

A l'heure où les clubs et organismes sportifs dans le monde se sont alignés, depuis très longtemps, aux règles rationnelles et scientifiques de la gestion sportive nous continuons, nous, à vivre dans un cadre flou où le métier de dirigeant se fait n'importe comment. Eux, ils se forment et se recyclent tout le temps pour développer leurs clubs et fédérations sportifs, nous, nous faisons appel de plus en plus à des amateurs et à n'importe qui pour faire ce métier.

Aujourd'hui, on traîne un héritage lourd dans le domaine du sport : les structures désuettes et malsaines du passé nous ont produit une population mitigée de dirigeants sportifs : ceux qui ont une qualification et qui connaissent le sport et l'administration (c'est une minorité) et ceux qui viennent de n'importe où avec un statut d'athlète, de dirigeant ayant exercé pendant des années. Cette deuxième catégorie a fait sa loi jusqu'à aujourd'hui.

Ce sont des clans associés à des capitaux et «lobbies» pour prendre en otage le club ou la fédération. Pas de spécialité, pas de connaissance en gestion ou en communication. On a seulement recours à des experts en comptabilité et en juridiction pour respecter les procédures des assemblées générales.

Sinon, ce sont les mêmes outils et mécanismes biaisés qui n'obéissent à aucun fondement qui règnent. Pour être dirigeant aujourd'hui en Tunisie et pour pouvoir exercer pleinement ce métier, il suffit d'avoir un relationnel avec les médias, de «dompter» l'entourage du club et de ramener ou payer un peu d'argent pour s'éterniser dans ce poste.

Au lieu de se former en ménagement au sport et d'acquérir les connaissances théoriques et pratiques, nos dirigeants versent un argent fou pour préserver un système anarchique qui les aide à garder leurs postes..

Formation urgente
L'initiative de l'Académie nationale olympique tunisienne (Anot) qui a tenu pendant deux semaines un séminaire sur le thème l'«administration pour dirigeants sportifs» est louable. C'est un premier pas pour enfin ouvrir les portes devant une formation académique approfondie.

Ce n'est pas une question de luxe c'est une urgence. Le métier de dirigeant mérite plus d'intérêt et de valorisation si l'on veut améliorer les performances de nos sportifs. Nous avons du potentiel technique (athlètes et entraîneurs), ce qui manque, c'est d'élargir la base des bons dirigeants. Ce qui nous manque, c'est de trouver des dirigeants qui savent planifier, motiver, trouver les ressources financières, fixer les bons objectifs, fournir la logistique appropriée, gérer les conflits, améliorer leurs compétences…

Cela ne peut pas se faire en quelques semaines. C'est d'abord une question de conscience. Il faut accepter l'idée que le métier de dirigeant ne peut pas être inné ou légué, mais, au contraire, il doit être appris et inculqué. Ça, c'est au ministère des Sports et au Cnot de le faire.

lapresse.tn
Rafik EL HERGUEM le : 14-02-2014

Gianni · 14-02-2014 13:31

Le sport d'aujourd'hui demande beaucoup de choses à la fois : athlètes doués, moyens, connaissances, gestion, compétence, abnégation, perséverence, organisation,...Un très grand dirigeant ne fait pas à lui seul le très beau temps.

BenM'radMachouche · 14-02-2014 14:43

Il faut dépasser l'époque du bénévolat, du volontariat tifosi... dirigeant et plus encore président de club c'est tout un métier, tout comme les cadres dirigeants d'une grande entreprise, il faut être compétant, avoir fait des écoles de commerce, et suivi un parcours réussi dans le milieu des affaires et s'y entendre en matière de sport en général...
N'est pas Jean-Michel Aulas qui veut...

BenM'radMachouche · 18-02-2014 12:47

Terrains gazonnés en Tunisie : L'étude complète

Le ministère de la jeunesse et des sports vient de publier une carte des implantations des terrains de football dans la république tunisienne, cette étude dénombre 197 terrains à travers le pays dont 95 en gazon naturel.

Cette carte comprend l'ensemble des terrains étatiques (gérés ou loués par les municipalités aux clubs et autres associations) qui ont un gazon naturel ou artificiel.

Le gouvernorat de Tunis vient en tête en nombre des terrains gazonnés avec 20 naturels et 09 artificiels, suivi par le gouvernorat de Sousse ave 11 terrains naturels et 11 artificiels.
Les derniers de la classe sont les gouvernorats de Mannouba, Zaghouan et de Kebili qui n'ont pas de terrains munis de gazons naturel et qui pour le cas de kebili et de Manouba qui n'ont qu'un seul terrain artificiel.

Cette étude ne peut être complète que si on comparait les infrastructures par rapport aux nombre d'habitants par chaque gouvernorat.

Ainsi le gouvernorat de Sousse avec un stade par 27772 habitants vient en tête suivie de Tunis (34482 habitant) et Tozeur avec (34333) complète le podium.

Dans le sens inverse Manouba clôt la marche ave un stade pour 368000 habitants.
La moyenne nationale de nombre d'habitants par stade est d'un stade par 53548 habitants et seulement 11 gouvernorats sont au dessous de cette moyenne ( Tunis, Ben Arous, Jendouba, Kef, Sousse, Monastir, Gafsa, Tozeur, Gabes, Mednine et Tataouine) les 13 restant sont au dessus (Ariana, Manouba, Nabeul, Zaghouan, Bizerte, Beja, Siliana, Kairouan, Kasserine, Sidi Bouzid, Mahdia, Sfax et Kebili).

Les valeures démographiques sont celles de février 2011

Gouvernorat – Nombre de stades – Nombre d'Habitants – NbreHabt/ stade

Tunis : 29 stades- 1 million d'Habitants (34482/ stade)
Ariana : 03 stades- 498000 d'Habitants (166000/ stade)
Ben Arous : 14 stades – 577000 d'Habitants (41214/ stade)
Manouba : 01 stade- 368000 d'Habitants (368000/ stade)
Nabeul : 10 stades- 752000 d'Habitants (75200/ stade)
Zaghouan : 02 stades – 170000 d'Habitants (85000/ stade)
Bizerte : 09 stades – 546000 d'Habitants (60666/ stade)
Béja : 05 stades – 306000 d'Habitants (61200/ stade)
Jendouba : 09 stades- 423000 d'Habitants (47000/ stade)
Kef : 06 stades- 256000 d'Habitants (42666/ stade)
Siliana : 04 stades- 234000 d'Habitants (58500/ stade)
Kairouan : 08 stades – 559000 d'Habitants (69875/ stade)
Kasserine : 04 stades – 432000 d'Habitants (108000/ stade)
Sidi Bouzid : 05 stades- 412000 d'Habitants (82400/ stade)
Sousse : 22 stades- 611000 d'Habitants (27772/ stade)
Monastir : 13 stades- 515000 d'Habitants (39615/ stade)
Mahdia : 06 stades- 396000 d'Habitants (66000/ stade)
Sfax : 15 stades – 931000 d'Habitants (62066/ stade)
Gafsa : 08 stades- 338000 d'Habitants (42250/ stade)
Tozeur : 03 stades- 103000 d'Habitants (34333/ stade)
Kébili : 01 stade- 150000 d'Habitants (150000/ stade)
Gabes : 07 stades- 361000 d'Habitants (51571/ stade)
Médnine : 10 stades- 455000 d'Habitants (45500/ stade)
Tataouine : 03 stades – 146000 d'Habitants (48666/ stade)

Total : 197 stades – 10549000 d'Habitants (53548/ stade)

Imed Romanista · 19-02-2014 12:03

BenM'radMachouche a écrit :

http://www.lapresse.tn/files/jpg/logo-lapresse.jpg
Crises de clubs de la Ligue 1: La fragilité d'un système
Il suffit de deux revers ou de deux victoires pour connaître soit le malheur soit le bonheur
L'actuelle crise qui a éclaté au parc A et qui demande la peau de Slim Riahi n'est pas la première et ne sera pas la dernière. Les défaillances de la politique de Slim Riahi ont fini par créer un ras-le-bol collectif contre lui.
Mais en fait, ce ne sont pas les défaillances de la politique de Riahi qui énervent le peuple clubiste. Ce sont juste les deux nuls de suite à Tozeur et à Radès et l'écart des 6 points avec l'EST qui dérangent. Si le CA avait gagné, personne n'aurait réagi. Et pourtant, ceux qui disaient que l'équipe «rouge et blanc» avait tant de problèmes de jeu alors que les victoires s'enchaînaient, étaient pointés du doigt.
Ce n'est pas un phénomène propre au CA. A l'EST, Hamdi Meddeb et ses choix étaient déstabilisés et mis en doute au premier échec comme ce fut le cas en Ligue des champions. La défaite au derby a régénéré la colère de certains supporters «sang et or» contre Meddeb et ses choix. Kasri en a payé les frais.
A l'ESSahel, en revanche, tout le monde est content maintenant. La politique de Ridha Charfeddine est déligente quand l'équipe de Lemerre enchaîne quelques victoires de suite. Quelque temps avant, on critiquait Lemerre pour les mauvais résultats. Même phénomène à Béja. Après des mois de mauvais résultats et de tensions exacerbées, tout le monde tourne à l'optimisme.
On oublie tous les problèmes, on oublie l'état critique de l'OB et les accusations formulées à l'encontre de Jalel Gharbi, président du club. Comme c'est fou ces états d'âme auprès des clubs tunisiens. Ce sont toujours les détails (une victoire ou une défaite) qui font chavirer les clubs et non les arguments de fond observés sur la période qui le font.
Amateurisme!!
Cette hypersensibilité envers les résultats immédiats s'explique par l'incapacité de nos dirigeants à bâtir un projet sportif. Et ça, ils en sont responsables en bonne partie. Versés dans la gestion au jour le jour de leurs clubs, exposés à un «iceberg» de problèmes et de pressions, ils finissent par rentrer dans le cercle vicieux du court terme.
Une victoire permet de respirer, une défaite enfonce les dirigeants dans le doute. La saison est ainsi une alternance entre de bons et mauvais moments au gré des résultats. La qualité du jeu, l'évolution de l'équipe, la stabilité, l'équilibre financier, l'harmonie dans l'équipe dirigeante, ce sont tous des critères mis de côté en faveur des résultats.
Si vous étiez premier et que vous êtes second (CA), c'est une énorme crise, si vous étiez second et que maintenant vous êtes leader (EST), tout va bien, si vous enchaînez deux succès de suite après des mois de faux pas (OB), la vie est en rose et tout ce qui a été dit avant part en fumée. Il suffit d'une défaite, d'un mauvais classement pour que l'on passe à l'extrémité. Tout ça s'appelle amateurisme.
Tout peut être perçu positivement ou négativement, ce n'est pas le problème. Mais ce qui importe pour un club aux dirigeants professionnels, c'est la vision et c'est le constat objectif qui prend en compte le projet élaboré et les choix faits. Jamais deux résultats de suite ne peuvent évaluer le travail d'un dirigeant. C'est ce dernier qui doit en être convaincu en premier lieu.
Rafik El Herguem le: 19-02-2014

Cet article reflète à merveille la mentalité tunisienne.

BenM'radMachouche · 19-02-2014 12:17

Imed Romanista a écrit :

Cet article reflète à merveille la mentalité tunisienne.

dans un sens oui, mais la racine des problèmes est ailleurs.
Je suis en train de réfléchir à un article qui exposerait lucidement le mal qui est venu se greffer aux divers maux endémiques et séculaires du sport en général dans ce pays, et ce depuis l'avènement de la révolution...
Tout devient teinté d'une connotation politique et un mélange des genres déplorable...

Imed Romanista · 19-02-2014 19:52

La Tunisie post révolutionnaire est désolante. Je ne sais plus quoi penser de ce pays.

BenM'radMachouche · 21-02-2014 10:35

Foot Tunisien, le bal des dupes !!!

A l'aune des remous et ambiance de crise qui ont eu lieu récemment à propos et autour de certains présidents de club, la grosse colère et la révolte des supporteurs au sujet de leur gestion, il devient plus qu'évident l'abîme des bas-fonds dans lesquels certains ont réduit ce sport dans notre pays.

Depuis l'avènement des soi-disant Ligue 1 et 2 professionnelles, le football est devenu une affaire de business économique, rien de plus, la chasse gardée et l'apanage de quelques uns.
Une poignée de joueurs, leurs proches et leur entourage de quelques escrocs ou agents véreux qui s'en mettent plein les pognes, pour du vent.

Des conflits permanents voient le jour entre clubs nationaux, avec des pays étrangers fournisseurs de viande fraîche.

Plus personne ne s'engage pour construire une histoire avec un club et ses supporteurs, la Tunisie est devenue une sorte d'aire de transit, où l'on débarque avec un plan de carrière pré-défini, au mépris des clubs d'accueil de leur public et en dépit de l'éthique du sport lui même... Un véritable négoce d'ébène, ou le triangle des Bermudes...

Une véritable foire aux empoignes, un marché de dupes où les grands perdants sont le niveau du sport et la crédulité du public, à qui comme au temps des romains, les césars fournissaient des jeux, du vin et du pain. On promet monts et merveille à la plèbe pour s'octroyer ses faveurs, et dévier son attention des questions qui comptent et qui fâchent.

Nous sommes devenus tellement accro et omnibulés à regarder ailleurs dans les jungles d'Afrique et chez les pays voisins à la recherche de la perle rare, l'étalon, la poule aux oeufs d'or, qu'on en oublie complètement la formation et nos propres enfants.
L'herbe étant toujours meilleure de l'autre côté de la haie.

Le sport ça ne profite qu'à quelques chaînes du golfe qui s'enrichissent en nous projetant nos propres images contre forces devises, et à une classe autoproclamée d'experts de studios qui n'ont d'expert que le nom.

Par dessus ces couches de parasites est venue se greffer une nouvelle classe d'oligarques, parvenues et nouveaux riches, des apprentis sorciers, à la sauce Bunga Bunga Berloscuni et Nanar Tapie.

Des gens totalement étrangers à l'histoire du sport et qui confondent tout et n'importe quoi, et que leur ambition dévorante de pouvoir politique pousse à prendre le train en marche et profiter de cette manne, la popularité du sport pour devenir califes à la place du calife.

Je n'en citerai que deux : l'inénarrable Slim "Tawwa Tawwa" Riahi, et l'autre bougre de demeuré qui préside au destin des Anguilles de Bizerte...

Et les dégâts ne s'arrêtent pas là... Il y a en plus les vétérans sportifs à l'instruction douteuse, pour ne pas dire les incultes qui se voient bombarder à des postes ministériels au dessus de leur compétence et la petitesse de leur courte vision partisane.Il est fort regrettable à mes yeux que d'anciennes gloires de notre club, des mythes vivants aillent se fourguer dans des combats d'arrière-garde.

Personne n'est dupe quant à cette situation ubuesque et à cette comédie hypocrite dont les dindons de la farce sont nous autres simples citoyens, le niveau du football en ce pays ( il n'y a qu'à voir l'état déplorable de la sélection nationale ), l'infrastructure risible et dérisoire avec 95 % des stades sorte de champs de labour, la formation absente et renvoyée aux calanques grecques, des compétitions cimetières jouées à huis-clos, des finances de club faméliques, des crises quasi permanentes et la valse rondo veneziano sans fin des entraîneurs et des directeurs techniques... Litanie sans fin...

Les hommes à la tête de clubs n'assument jamais leurs fautes, ce sont toujours les mêmes fusibles qui sautent, et les mêmes lampistes qui paient la note.
Sport et Politique même combat, mêmes dindons de la farce.

BenM'radMachouche · 26-02-2014 12:32

Notre football s'emballe: Les dernières folies...

Plus que dix journées à disputer. Nos clubs en profitent pour donner libre cours à leur folle imagination

On croyait avoir tout vu, tout entendu. Visiblement, nous sommes loin, très loin du compte puisqu'à l'approche des verdicts, surtout celui du purgatoire, un vent de folie souffle sur notre football. Hormis l'Espérance qui semble avoir trouvé son équilibre et son bonheur avec Krol (qui a signé un contrat de 3 ans) ; l'ASGabès qui a déniché l'oiseau rare en la personne de Chiheb Ellili et l'ESMétlaoui où Chokri Khatoui fait de l'excellent travail, tout le monde perd un peu la tête en ce moment.

L'exemple vient d'en haut
Il faut dire que l'exemple vient d'en haut, du président de la FTF, Wady Al Jary, qui tient demain une conférence de presse pour nous dire on ne sait trop quoi. Si c'est pour justifier ses échecs et essayer de nous faire avaler de vieilles pilules, il peut rester chez lui et nous épargner une énième mise en scène.

Ah, que les Etoilés nous excusent, nous avons oublié de citer leur équipe qui coule des jours heureux avec Lemerre… Jours heureux que le président de la FTF cherche à gâcher en lançant un ballon d'essai en direction du bon vieux Roger. Au cas où celui-ci daignerait reprendre une équipe nationale qui a connu du bon, mais aussi du très mauvais avec lui. Al Jary-la gaffe : voilà qui lui va très bien…

Comment voulez-vous, dans ce cas, que nos clubs n'imitent pas le grand gourou qui, lui, a déjà consommé trois sélectionneurs et s'apprête à remettre ça pour la quatrième fois ? Et ce, dans une confusion et dans un manque de professionnalisme qui n'ont même plus peur du ridicule.

Stade Tunisien : la débandade !
Avant même le coup d'envoi de la compétition, nous avions malheureusement dit et écrit que le Stade Tunisien était le premier candidat à la relégation. Il ne fallait pas être sorcier pour le deviner car il y avait là tous les éléments objectifs et matériels pour que cela se passe ainsi. La responsabilité à qui? L'histoire retiendra que Kamel Senoussi et sa bande sont les responsables «historiques» de cette descente aux enfers, pour n'être pas partis à temps et pour avoir laissé pourrir la situation, même si la chute du club du Bardo ne date pas d'aujourd'hui…

Aujourd'hui, ce qui nous chagrine le plus, c'est le fait que les joueurs ne semblent pas vraiment conscients de la situation dramatique du club… Mais on sait depuis longtemps que les joueurs ne croient plus aux appartenances et au… maillot.

La seconde, c'est cette grande confusion au niveau du choix de l'entraîneur.

D'abord Ouertani puis Dridi, qu'on met dehors sans lui accorder une chance avec les nouvelles recrues; Hidoussi qui n'en peut plus et finit par rendre le tablier, puis cette quête désordonnée d'un quatrième technicien. Ben Yahia qui repousse l'offre; Nabil Kouki qui fait de même; Tlili dont le nom surgit d'on ne sait trop où lors de la réunion d'avant-hier soir avec, même, une figure haut placée du club qui téléphone à… Dridi pour lui dire d'être l'adjoint du bon vieux «sorcier»; Dridi qui refuse. Puis le nom de l'autre «oiseau exotique», Robertinho, qui s'invite à un débat houleux qui s'achève sur une non-décision pour reprendre hier avec le nom de… Nabil Kouki. Un drôle d'oiseau celui-là aussi, qui donne pratiquement son accord au CSHL puis temporise parce qu'il y a une place à prendre au… Club Africain.

Mais il est grillé sur le fil par Mondher Kebaïer et voilà qu'il renoue avec le ST, brandit toujours l'offre marocaine, attend qu'Al Jary tienne sa promesse et trône entre-temps toujours à la télé… une véritable cour des miracles où on ne comprend plus rien et où la chose footballistique est la dernière à faire débat.

CA : y a pas le feu!
Au Club Africain, c'est même un peu plus compliqué que cela avec un président-nabab, une petite cour rapprochée que le patron change tous les deux mois ; d'autres personnages-courant d'air et, surtout, une non-évaluation objective de l'état des lieux technique. C'est que l'effectif du Club Africain n'est pas le meilleur, le plus nombreux et encore moins le plus équilibré. Il n'est pas non plus le plus mauvais.

Koster l'a prouvé et Mondher Kebaïer pourrait le capitaliser davantage. Peut-être pas pour le titre, mais sûrement pour des bases plus solides dans le futur. Bref, il n'y a pas le feu au Club Africain, il n'y a pas non plus le feu dans notre football. En revanche, ce ne sont pas les… pyromanes qui manquent !

Sami AKRIMI le : 26-02-2014

#126 27-11-2013 22:32

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Des réserves secrètes pour le Cameroun contre La Tunisie !

#127 29-12-2013 16:06

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#128 29-12-2013 16:17

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#129 29-12-2013 16:19

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#130 29-12-2013 16:43

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#131 29-12-2013 17:15

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#132 29-12-2013 17:39

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#133 29-12-2013 18:26

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#134 15-01-2014 17:12

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#135 30-01-2014 12:10

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IFFHS: Le championnat tunisien est 1er en Afrique

#136 03-02-2014 11:13

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#137 11-02-2014 09:13

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#138 11-02-2014 09:56

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#139 11-02-2014 11:56

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#140 11-02-2014 13:09

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#141 12-02-2014 13:56

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Coordinateurs médias - Règles élémentaires à respecter...

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#143 14-02-2014 13:31

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Crises de clubs de la Ligue 1: La fragilité d'un système

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Foot Tunisien, le bal des dupes !!!

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