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EST - ESS : Une journée sous le signe de l’amitié

Les relations entre l’Espérance Sportive de Tunis et l’Etoile Sportive du Sahel sont en passe de devenir exemplaires et devraient constituer un véritable modèle à suivre.

En effet, il faut relever que l’équipe de handball de notre club a fait l’objet d’un accueil très chaleureux de la part des dirigeants étoilés à l’occasion du dernier tournoi «Select», par ailleurs remporté par nos représentants, durant leur séjour à Sousse.

Demain jeudi 24 janvier, ces relations seront renforcées avec l’organisation d’une journée de compétition de volley-ball entre les jeunes de l’Espérance et de l’Etoile qui se tiendra à la salle Mohamed Zouaoui à partir de 9h00 du matin.

Une très belle initiative de la part des dirigeants de nos deux clubs qui ouvrent ainsi une nouvelle page dans l’histoire des deux clubs, sur la voie du fair-play et de la sportivité.

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Classement Fifa : La Tunisie gagne 11 places

TUNIS (TAP) - La Tunisie a fait un bond de 11 places et se retrouve désormais à la 42e position du classement Fifa publié jeudi et toujours conduit par l'Espagne.

La Tunisie qui se hisse à cette 11e place grâce notamment à sa participation à la Coupe d'Afrique des Nations 2013 disputée en Afrique du Sud, occupe désormais la 6e place du classement africain toujours mené par la Côte d'Ivoire (12e).

TAP

BenM'radMachouche

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Projet de loi organique des structures sportives
Modalité de création de sociétés à but sportif

Passer d'un professionnalisme approximatif voir même déguisé et qui a montré ses limites en l'absence d'une législation appropriée, à un professionnalisme basé sur les textes de lois et pouvant aider au développement du sport en général et du football en particulier.

Tel est le but et la finalité du projet de loi organique des structures sportives présenté par le Ministre de la Jeunesse et des Sports Tarak Dhiab lors de la réunion tenue au cours de la semaine avec les présidents des équipes des Ligue 1 et 2 de football.

« Le Temps » a obtenu une copie des textes devant régir la nouvelle approche que nous rapportons ci-dessous, et particulièrement le chapitre 5 relatif aux sociétés à but sportif.

Article 29 : il est nécessaire que toute association sportive dont la moyenne ses recettes financières ou la moyenne du payement des salaires de ses sportifs durant les trois dernières saisons sportives à un taux spécifique fixé par décret du Ministre chargé des sports, et propriétaire d' installations sportives ou ayant droit de gérer ces installations et régulièrement affiliée à une fédération sportive, de créer une société commerciale à but sportif qui aura pour raison de traiter les activités économique et commerciale et le sport professionnel ayant trait à l'activité de l'association.

L'association est tenue d'assurer la continuité de ses autres activités sportives amateurs et la formation des jeunes.

Article 30 : il faut que chaque association sportive abritant une société commerciale à but sportif de posséder au moins le tiers des actions de la société et le même pourcentage au moins du droit de vote au cours de l'assemblée générale de la société.
L'état et la collectivité publique peuvent participer au capital de la société, avec des parts en nature, telles que des biens immobiliers à usage sportif ou des installations sportives leur appartenant.

Un pourcentage des gains sera réservé à la maintenance des installations sportives relevant de sa compétence.

Article 31 : il est interdit à toute personne physique ou morale de détenir des actions dans le capital de la société dépassant 10% du total des actions, ou détenteur d'actions dans plus d'une société à but sportif ayant les mêmes activités sportives.

Article 32 : toute association sportive qui ne répond pas aux conditions mentionnées à l'article 29, continue à jouir de son droit de participation à toutes les compétitions sportives amateurs et professionnelles et réaliser les recettes propres tout en tenant un livret de compte qui respecte les normes prescrites au modèle comptable 40 relatif aux structures sportives.

Article 33 : les relations entre l'association sportive et la société nouvelle créée, par une convention adoptée par l'assemblée générale extraordinaire, et sera soumise obligatoirement au visa du Ministère chargé des sports. Les dispositions à porter sur cette convention sont arrêtées par decret ministériel.

Article 34 : la société à but sportif sera composée d'un conseil d'administration dont les membres sont élus librement et directement parmi les membres contribuables dans le capital de la société et les adhérents de l'association sportive. Les membres élus au sein du conseil d'administration sont des bénévoles et non rémunérés.

Article 35 : les sociétés à but sportif ont le droit d'être affiliées aux fédérations sportives gérant les activités sportives professionnelles et obtenir des licences sportives leur permettant de supplier les associations sportives protectrices dans le but de participer aux activités sportives professionnelles.

Article 36 : les agents et employés au sein de cette société sont gérés dans leur relation avec la société par les dispositions du code du travail.

Article 37 : les sociétés à but sportif sont soumises au contrôle et le suivi du Ministère du sport et toutes les autres instances de contrôle conformément à la législation en vigueur dans le domaine des sociétés commerciales.

Article 38 : la société à but sportif peut être une société anonyme ou une société à responsabilité limitée et répond aux dispositions du code des sociétés commerciales.

M.R

BenM'radMachouche

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Radiation de Charfeddine Belhaj
Nulle et non avenue

Une radiation n'est pas peu de chose pour un joueur professionnel de football. Cela équivaut à mettre fin à sa carrière et à le priver de son gagne pain. Donc, pour décréter une aussi grave sanction cela nécessite une enquête approfondie et des preuves irréfutables. Elle doit être entourée de toutes les précautions requises et surtout accorder à l'accusé le droit de se défendre.

Or, il semble que la Ligue nationale du football professionnel a pris sa décision avec une désinvolture incompréhensible, bafouant même la réglementation et les procédures en vigueur.
Loi de moi la prétention de donner un avis sur le déroulement des évènements prouvant ou innocentant le comportement du joueur du Stade Gabésien, Charfeddine Belhaj, mais, mon souci est l'application des règlements.

Nous avons appris que les responsables du Stade Gabésien feront appel (ils ont entièrement raison) en se basant sur l'article 33 qui est appliqué au bon vouloir de la Ligue.
Souvenez-vous de l'affaire Nabil Maâloul qui a été sanctionné sans être entendu et que, par contre, les trois joueurs du Club Africain ont eu la chance d'être convoqué pour se défendre et ont eu gain de cause.

Pourtant, l'article 33 du Code disciplinaire est clair : « Au cas où le joueur est signalé dans un rapport complémentaire, il sera traduit devant la commission de discipline compétente pour répondre des fautes qu'il lui sont reprochées.
Cela est un premier vice de forme.

Le Stade Gabésien peut faire valoir un autre vice de forme dans la décision de la Ligue.
En effet, l'article 49 stipule que la radiation est prononcée par le Bureau fédéral sur proposition de la Commission nationale de discipline et du fair-play de la Ligue concernée.
Donc, la Ligue n'a pas convoqué l'intéressé et elle n'est pas habilitée à prononcer une radiation, deux indices qui rendent sa décision nulle et non avenue.

Ameur BAHRI

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Rendez-nous notre football!

Enième journée sans public, énième week-end sans saveur, énième round sans spectacle et sans football.

De la polémique, des problèmes à n'en plus finir, des plaintes, des cris, des tracas financiers et des alibis, plein d'alibis pour que le public ne retrouve pas les stades et les supporteurs leurs équipes.

Déjà que l'on s'ennuie ferme dans la capitale, que dire alors de tous ceux qui vivent à l'intérieur de la République où il n'y a ni cinémas, ni espaces de loisirs, ni théâtres, ni art, ni culture…
Huis clos, décrètent-ils par inconscience, par ignorance, par mépris, par dédain…

A la première manifestation, à la énième crise politique, à la première provocation, au premier alibi…

Pourtant, ces mêmes supporteurs sont revenus sans faire de vagues, sans gros incidents, heureux de retrouver le football, leurs favoris et l'ambiance des stades. De quel droit on leur interdit à nouveau cela et pour combien de temps encore?!

A l'heure où nos politiques, toutes tendances confondues, s'affichent à n'en plus finir, le foot et le sport se cachent, se terrent, se meurent par simple décision de leur part.

Cachez ce foot que l'on ne saurait voir et que crèvent clubs, footballeurs et cadres techniques !
La priorité est à la politique politicienne. Ça arrange tellement… d'irresponsables.

Sami AKRIMI le: 03-03-2013

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Pas de retransmission télévisée de SG-CSS
Les journalistes sportifs dénoncent

Le gouverneur de Gabès a demandé hier à la télévision nationale Al Watanya de ne pas assurer la retransmission de la rencontre du championnat de Ligue 1 Stade Gabésien-Club Sportif Sfaxien, prévue dimanche 3 mars à Chenini.

L'association des journalistes sportifs tunisiens dénonce cette attitude inadmissible qui représente une grave entorse au droit sacré à l'information et un franc encouragement devant toute possible manipulation ou dérapage. L'association met en garde contre la prolifération de ce genre d'interdictions que rien ne justifie.

L'Association des journalistes sportifs tunisiens

BenM'radMachouche

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

UNFT - Affaire Charfeddine Belhaj

L'Union nationale des footballeurs tunisiens (Unft), dans son souci de suivre avec toute la méticulosité requise les péripéties de ce qui est, désormais, communément admis comme étant «l'Affaire Charffedine Belhaj», a pris attache avec la Ligue nationale du football professionnel (Lnfp) pour prendre connaissance de tous ses tenants et aboutissants.

Honorant sa mission de défense des intérêts des footballeurs tunisiens, l'Unft ne ménagera aucun effort pour tirer cette affaire au clair, d'autant plus que les premiers éléments n'incriminent en rien le joueur en question.

Sans aller trop vite en besogne, l'Unft ne se prononcera officiellement qu'après son accession à tous les documents afférents à cette déplorable affaire.
Afin que justice soit faite et que le joueur ne s'assimile plus au bouc émissaire tout désigné, s'étant de tout temps apparenté au maillon faible de la chaîne footballistique.

le: 03-03-2013

ali93

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Des irresponsables, oui, et il y en a certainement des indispensables, tels que pas mal de journalistes que chacun a sa mesure mais pas celle de faire avancer le sport et toutes ses disciplines. Ils ne parlent plus que du foot et à tous les échelons.

BenM'radMachouche

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Football tunisien — Etat des lieux et perspectives
Le pire est à venir !

Entre les prochains verdicts de fin de saison (qu'aucune partie perdante ne semble vouloir accepter),  certains arbitres qui se sont embarqués dans une action partisane, sans précédent et dangereuse, et la perspective des trois mois d'une énième disette (le championnat s'achève dans moins de 60 jours), notre football court à sa perte sous l'œil impassible de la fédération et de la ligue !

Brassards rouges

Ils ont été quelques arbitres, dont une poignée d'internationaux, qui ont porté ce week-end le brassard rouge en guise de «protestation contre le conflit larvé entre le ministre des Sports et le président de la fédération»  dans une démarche partisane en faveur de ce dernier. Une première pour un corps censé être indépendant et souverain. Mais qui ne l'a jamais été, comme en témoigne un quart de siècle d'inféodalité à certains personnages et à certains clubs.

Arbitres impayés, arbitres agressés, arbitres non protégés, arbitres dénoncés, arbitres gaffeurs et arbitres pointés du doigt qui mettent leur honneur aux enchères publiques, insultant le passé, le présent et l'avenir. Pourquoi n'ont-ils pas mis le brassard alors qu'ils ne sont pas payés depuis des mois? Pourquoi aujourd'hui que le président de la FTF a, comme par magie, trouvé l'argent pour les payer? Du moins il le leur a promis…

Pourquoi n'ont-ils pas mis le brassard quand leur collègue Mohamed Ben Hassana  a été pris en otage à Sidi Bouzid? Pourquoi n'ont-ils pas protesté quand Mohamed Meddeb s'est fait agresser? Pourquoi n'ont-ils pas mis le brassard quand Karim Mahjoub s'est fait casser le nez à Moknine? Pourquoi n'ont-ils pas mis le brassard quand leurs collègues sont évacués dans des voitures de police pour échapper au pire?

Qui est derrière ce mouvement sauvage et indigne? Les noms, nous les connaissons, mais nous ne leur ferons pas l'honneur de les citer, même si nous savons qu'un arbitre du Centre, ex-international et voulant le redevenir, et un de Sfax, sont à la tête de ce mouvement dont les objectifs sont purement d'intérêts personnels et électoraux.

Et puis que fait le président de la commission d'arbitrage dans tout cela et pourquoi ce silence complice? Aujourd'hui plus que jamais, l'arbitrage est otage de ses contradictions et de ses appartenances, d'où notre crainte d'une énième fin de saison faussée.

C'est qu'un arbitre sous  les ordres et sous influence  n'est pas un arbitre fiable.

Heureusement, cette démarche et cette initiative ne sont l'œuvre que d'une minorité soucieuse de préserver ses intérêts et ses positions et nous attendons de l'écrasante majorité qu'elle s'y oppose afin d'isoler ces brebis galeuses, héritage d'un ancien système qui a mené notre football et notre sport droit dans le mur !

Saut dans l'inconnu

Clubs au bord de la crise de nerfs, clubs au bord du gouffre, sources de financement taries, joueurs et cadres techniques impayés, créanciers aux portes, caisses de retraite qui réclament leur dû, huis clos persistant: notre football est en faillite financière et sportive. Car, aussitôt on zappe pour aller voir ailleurs, on croit atterrir sur une autre planète avec les championnats espagnol, italien, anglais ou encore français…

Et l'on se dit malheureusement qu'avec la situation politique et économique du pays ainsi que la fuite en avant de notre fédération de football, le pire est encore à venir.

Et pour cause. Pour trois matches internationaux seulement (aller et retour Sierra Leone et Cap-Vert), on arrête le championnat à la fin du mois de mai et on contraint nos clubs aux vacances forcées. Des clubs qui doivent faire face à leurs énormes déficits mais qui doivent continuer à honorer leurs engagements avec leurs joueurs, leurs entraîneurs, à entamer une nouvelle préparation avec des  stages bloqués, à renouveler des contrats, à recruter, etc.

La fin de la compétition, c'est dans moins de trois mois et, pour toute réponse et pour toute solution à ce marasme, on demande encore une fois à l'autorité de tutelle, au contribuable de payer. Or, notre compétition et notre football, en général, dépendent de la ligue et de la fédération, élues par les clubs qui doivent leur demander des comptes ou alors leur retirer leur confiance.

Car il est, aujourd'hui, inadmissible que notre football continue à être assisté de la sorte, que  le contribuable continue à payer, en partie, les erreurs des dirigeants des clubs, les salaires de pseudo-stars, la folie des grandeurs du ballon rond et une fédération incapable de mettre fin à tout ce cirque.

Le ministère de la Jeunesse et des Sports, comme son nom l'indique, a d'autres priorités : la jeunesse, le sport avec un grand S (à commencer par la véritable élite dont les athlètes ne bénéficient pas en une saison de l'équivalent d'un  salaire d'une «star» d'un grand club), l'infrastructure, les centres de formation (tous sports confondus) et de bien d'autres priorités.

Qu'ont prévu la FTF et la ligue de football pour faire face au marasme actuel et qui arrive?
Sans doute une énième bataille contre l'autorité de tutelle!

Sami AKRIMI le: 05-03-2013

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Projet de sociétés sportives
Avec quel argent ?!

Par ces temps de marasme économique, le football tunisien est-il prêt à mobiliser des fonds économiques ?

L'idée de transformer les clubs tunisiens en sociétés sportives est fort louable. Nous défendons cela depuis des années. Ça fait un bon bail qu'on opère dans un modèle sportif et économique anarchique en championnat.

Des clubs qui vivent au jour le jour, qui comptent trop sur les deniers publics, des salaires exagérés et infondés qu'on donne aux joueurs et aux entraîneurs, des déficits hérités d'un bureau directeur à l'autre, beaucoup de problèmes de transparence et, aujourd'hui, une incapacité à honorer les obligations financières, voilà où en est arrivé le football tunisien.

Au départ, un professionnalisme imposé d'une manière louche en 1995, et voilà le commencement des pépins. Clubs restés amateurs dans leurs méthodes de gestion, joueurs qui en ont bien profité pour se remplir les poches et puis des gouffres financiers cumulés au fil des années. On ne forme plus les joueurs, on augmente les prix des billets pour faire face à l'énorme masse salariale. En même temps, nos clubs ont compté sur le transfert des joueurs pour créer une plus-value. Ce n'était pas permis à tout le monde ! Et tout cela, sans payer le moindre impôt.

Bailleurs et attentes…

Une société sportive ou n'importe quelle autre  société a un capital, des associés qui peuvent être quelques personnes, mais aussi le grand public (si le capital est ouvert aux petits apports).

Maintenant, transformer nos clubs, qui vivent des moments pénibles, en sociétés qui gèrent, dépensent, gagnent et payent des impôts, est quelque chose de fantastique. Ça nous permettra de mettre fin à ce vide juridique et économique. Plus de protection de l'Etat (subventions) et une grande liberté à décider et à rentabiliser des capitaux et une infrastructure. Mais avouons que ce n'est pas encore quelque chose de facile à mettre en pratique.

- Cette période transitoire en Tunisie bloque tous les opérateurs économiques, Sera-t-il facile de mobiliser des fonds et d'attirer des bailleurs de fonds en ce moment?

- Il faudra une approche fiscale spéciale pour les clubs. Faute de ressources financières consistantes, ce sera plus intéressant de donner un délai de grâce fiscale, façon de permettre aux clubs de capitaliser des fonds.

- Y aura-t-il l'argent nécessaire, faute de recettes du stade, de sponsoring et de revenus publicitaires, pour constituer des sociétés? Le changement est obligatoire comme le veut la Fifa, mais à court terme, payer les salaires et les primes des joueurs est l'urgence.

Tôt ou tard, les clubs de football doivent se transformer en sociétés. Ils sont tout d'abord tenus d'apprendre comment gérer un club professionnel et comment rentabiliser les apports des associés. Un président qui fait tout et un comptable qui assure l'administratif, c'est complètement révolu! Nous y reviendrons!

R. El Herguem le: 05-03-2013

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Les dérives se multiplient un peu partout
Le pire est à venir si…

Nous nous sommes posé cette question ici même, il y a deux semaines : la compétition en football ira-t-elle à son terme et ce, suite aux incidents qui ont émaillé quelques rencontres des deux ligues 1 et 2.

Aujourd'hui, nous sommes plus que convaincus que nous y allons tout droit.
Ce qui s'est passé dans un premier temps à Gafsa puis dimanche dernier à Chenini de Gabès n'incitent pas à l'optimisme dans la mesure où nous sommes passés à côté d'une véritable catastrophe pour ne pas employer un terme beaucoup plus grave à l'instar du mot tsunami.

Absence totale de prise de responsabilité

Les prémices de ces « dérapages » ont apparu quelques jours plus tôt à Gafsa avec le renvoi du match contre le Stade Gabésien suite au retrait du service d'ordre après qu'un responsable gafsien ait tenu à garer sa voiture dans l'enceinte du stade. Survint quelques jours plus tard la parenthèse du joueur Charfeddine Belhadj ajoutée à cette partie de la nuit passée dans le bus à Gafsa par l'équipe gabésienne.

Outre cette déclaration de Guelbi promettant de « punir » toutes les équipes qui se rendront dorénavant à Gabès. Un scénario rarement vécu dans nos stades et même ailleurs et dont les répercussions allaient s'avérer beaucoup plus graves après la radiation à vie du joueur Charfeddine Belhadj sans qu'il soit entendu par nos pontifes de la Ligue nationale.

C'est que, à Gafsa comme à Chenini Gabès, les accompagnateurs des deux clubs n'ont pas été à la hauteur de leurs responsabilités. Et que dire quand les présidents s'y mettent pour compliquer encore plus une situation qui ne demandait qu'un peu de bon sens.
Des images révélatrices

Ce qui s'est passé dimanche dernier au stade de Chenini était quelque peu attendu mais pas avec autant de gravité. Résultat des courses : le centre ville de Sfax était pris d'assaut le soir même, les supporters du Club Sfaxien étant sortis pour faire part de leur mécontentement en utilisant tous les moyens à leur portée pour demander justice. Ceux résidant à Tunis ne sont pas demeurés en reste en se rendant devant le siège de la FTF pour manifester.

Les choses vont sûrement se compliquer encore plus quand tomberont les sanctions qui seront prises par les instances concernées au vu des rapports des l'arbitre, du commissaire du match, des servies de la police.

Reste à savoir si l'on tiendra compte des images transmises lundi soir par la chaîne télévisée « Hannibal », images qui ne laissent planer aucun doute sur les scènes d'apocalypse vécues par la partie sfaxienne et, malheureusement, démenties par Saber Jemaï le président du Stade Gabésien dont le double langage a surpris plus d'un téléspectateur.
Qu'en sera-t-il quand on abordera le play out ?

Les gravissimes incidents vécus à Gafsa puis à Gabès nous incitent, de nouveau, à poser cette question à qui de droit : la compétition mérite-t-elle de se poursuivre dans les conditions qui prévalent dans le paysage de notre football ? D'autant plus que ce genre de dépassements ne se limite pas seulement à ces deux villes mais ils sont présents un peu partout dans le pays et notamment en ligue 2 et dans les autres divisions là où le huis clos n'est pas respecté.

La police ne peut être elle seule partie prenante pour faire appliquer la règlementation en vigueur. Le concours des responsables et des représentants de la Ligue étant plus que nécessaire.

Qu'en sera-t-il alors quand on abordera le play out pour désigner la troisième équipe qui accompagnera les deux autres en ligue 2 ? Un scénario qui va s'appliquer aux autres ligues et divisions, là où tout est permis en l'absence de caméras de la Télévision et de représentants de médias qui rechignent à couvrir ce genre de matches à grands risques pour leur santé.

Rafik BEN ARFA

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Graves incidents à Gabès
La violence banalisée

Un véritable cauchemar a été vécu par les «Noir et Blanc» à Gabès…

Les scènes de violence sont devenues malheureusement ordinaires à Gabès. Dimanche dernier, des scènes de panique également  ont contraint les Sfaxiens à aller se réfugier aux vestiaires au bout de deux heures trente minutes de jeu, suite à l'irruption d'énergumènes  sur le terrain.

«C'est du jamais vu durant toute ma longue carrière de joueur, puis de dirigeant», nous a confié l'ex-gardien international, Naceur Bédoui, qui occupe  actuellement le poste de directeur administratif au CSS. Et d'ajouter : «J'ai vu de mes  propres yeux d'horribles scènes de vandalisme et de dépassement des règles fondamentales de l'éthique sportive.

L'arbitre du match a pourtant fait de son mieux pour mener le jeu à bon port, accordant même aux locaux deux buts litigieux. Mais c'est finalement dans un désordre insoutenable qu'on a préféré se retirer du jeu, de peur que les débordements du public (sic)  présent au stade ne dégénèrent en émeute», a-t-il encore souligné.

Film d'horreur

C'est donc un ensemble sfaxien traumatisé qui a effectué lundi une séance de décrassage et de remise en condition. Quelques joueurs étaient encore sous le choc, comme c'est le cas du jeune régisseur de l'équipe Mohamed Ali Mansar, qui a tenu à préciser que rien ne justifie cette violence gratuite. Et d'ajouter: «Je n'arrive pas encore à croire ce qui s'est passé en cours de jeu. C'est terrifiant !».

Hamadi Daou, l'entraîneur-adjoint, s'est  contenté de dire : «L'agression contre Abdelkader Khechache par un pseudo-supporter gabésien qui l'a violemment agressé au visage est un acte d'un autre temps. Grave et impardonnable!».

Scènes préméditées

En fait, selon les déclarations du président du CSS, Lotfi Abdennadher, tout ceci était prémédité du côté gabésien pour s'assurer la victoire  par n'importe quel moyen, évoquant à ce propos l'interdiction faite aux médias audiovisuels de transmette en direct le match. Une grave entorse au droit sacré à l'information, ce qui a favorisé les dérapages vécus dimanche en cours de jeu, et même avant l'entame de la rencontre. «Où allons-nous?!» s'alarme-t-il.

Pour sa part, le public sfaxien a tenu à manifester sa réprobation contre les actes de  violence qui ont émaillé la rencontre, et ce, en organisant des sit-in de protestation devant le siège du gouvernorat à Sfax, celui aussi de la radio régionale et de la ligue de football du sud.

Un autre sit-in a été tenu par les supporters des «Noir et Blanc» à Tunis, devant le  siège de la FTF car ils craignaient que la FTF  ne prenne pour la énième fois une non-décision. Soit une porte ouverte à toutes les dérives, à tous les dangers!

Rachid AYADI le: 06-03-2013

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Les locaux de la Zitouna incendiés et saccagés
Le coup de grâce !

Les locaux de la Zitouna Sport ont été incendiés et saccagés, avant-hier soir, par des inconnus
L'un des plus vieux clubs du pays, le mythique Zitouna Sport, broie du noir. Après deux ou trois vols subis par les locaux, on en arrive maintenant à mettre le feu, détruisant la totalité des archives et transformant en cendres tout le matériel de la salle de musculation. Une partie de la toiture a cédé.

«Nous avons alerté la police, mais également le département de tutelle et le gouvernorat de ces destructions, indique le président Rachid Barouni. Le viol de nos locaux et de nos installations par des poignées de jeunes riverains passe désormais pour une banalité, même si c'est toujours démoralisant et fatiguant pour toute la famille zeitounienne. 

On se bat comme on peut, désormais. Longtemps, nous avons insisté auprès des autorités afin de les sensibiliser sur la nécessité de sécuriser notre club. Pourquoi l'espace occupé par nos voisins, le Tennis Club de Tunis et le Gazelec Sport, est-il parfaitement fermé et inaccessible, alors que le nôtre ressemble à un souk à ciel ouvert? Il suffit de détruire les grillages pour y accéder sans coup férir. Vous ne pouvez pas imaginer la gêne que cela occasionne pour les sportifs et surtout pour les sportives par ces temps de dérives sécuritaires. Il y a au vrai non seulement un sentiment de gêne mais également de peur», insiste le président de la [Zine Souissi].

Lequel espère que cet épisode sera finalement un bien pour un mal, en ce sens où il doit servir d'alerte salvatrice: «Nous avons obtenu la promesse du ministre de la Jeunesse et des Sports, Tarek Dhiab, de doter le club d'une salle couverte et de locaux modernes et viables, rappelle-t-il. Ce vieux rêve cher à des générations entières d'enfants de la Zitouna se fait attendre. Sa concrétisation tarde.

Nous en sommes à présent au stade de la mobilisation des fonds nécessaires qui sont de l'ordre d'un million de dinars. Devrait-on parler d'une sorte de malédiction : de jeunes associations disposent de leurs propres salles couvertes alors que la Zitouna, un monument (malheureusement  en péril) vieux de 90 ans, presque un siècle, évolue toujours à ciel ouvert et sur terre battue.

Ce paradoxe produit une infinité de joueurs sujets à de graves entorses, ligaments croisés… Nos terrains se trouvent à un stade écœurant de délabrement. Nous passons pour être le premier club dont les sportifs sont abonnés à l'Institut El-Kassab. Bref, cela a tout l'air du moyen-âge du sport avec tous les risques et les insuffisances que cela comporte», insiste Rachid Barouni.

Un budget squelettique

Il n'est pas exclu que le bureau directeur rende dans les heures qui viennent le tablier. Ecœurés par toutes ces petites vicissitudes et grandes misères, les dirigeants paraissent aujourd'hui découragés. Les entraîneurs continuent d'exercer par passion beaucoup plus que pour le gain. Il arrive même que les joueurs ne bénéficient pas du «minimum vital», soit les frais de déplacement.

Le club tourne miraculeusement avec un budget annuel de 100 mille dinars pour un millier de licenciés. En cinq mois d'exercice, cette saison, le club, installé du côté du Belvédère, a reçu une subvention du ministère et de la municipalité de l'ordre de… 30 mille dinars. Une misère, quoi!

Tarak GHARBI le: 07-03-2013

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Notre football, comment il va ?
Faut-il croiser les doigts ?

Ce n'est pas du tout simple et évident en ce moment pour notre football et nos footballeurs. Censée gérer notre football, la Ligue de football n'en finit pas d'afficher son impuissance. Sur un autre plan, on a de plus en plus de mal à contrôler le huis clos pour cause de fuites de tous genres. Quelles répercussions sur l'équipe nationale? Nous n'allons pas tarder à le savoir.
La dernière trouvaille de la Ligue nationale de football? Arrêter le championnat. Ceci en dit long sur l'impuissance d'une institution qui a, depuis longtemps, délégué son pouvoir, ses prérogatives et ses droits à la fédération de football.

Et pas uniquement, puisque tout le monde sait que cette institution s'est (depuis longtemps aussi) mise sous la botte des clubs et qu'elle se plie à toutes leurs exigences, selon un ordre de grandeur. Pas touche et priorité absolue aux grands clubs (et encore puisque ces grands clubs ne sont pas toujours mis sur un pied d'égalité); à ceux qui ont une moindre importance et ainsi de suite jusqu'à arriver au bas de la pyramide, de l'échelle.

Organisme respecté, craint et tout puissant du football en Europe, la Ligue nationale de football chez nous est vidée de toute son essence et s'accommode plutôt bien de son  rôle de figurante. Elle s'accommode également d'une place à l'ombre d'une fédération tentaculaire qui occupe tout le terrain et veut tout contrôler: championnat, équipe nationale, finances, etc.

Aujourd'hui que notre football vit la crise la plus grave d'une histoire, qui n'est pourtant pas un long fleuve tranquille, on mesure l'étendue du vide et des dégâts.

En se désengageant de la compétition, en jetant la balle dans le camp de la Ligue et en préférant jouer à fond la carte de l'équipe nationale, la FTF a mis à nu la faiblesse et l'impuissance de la Ligue qui se rend soudain compte qu'elle ne contrôle rien. Elle assiste, en effet, impuissante, aujourd'hui au «pourrissement» d'une compétition qui n'est pas une fatalité. Voilà, le mot est dit : fatalité. Pour expliquer et justifier cette situation, Ligue et fédération évoquent, aujourd'hui, la situation générale dans le pays, la fatalité. Or, ce n'en est pas une. Dans des conditions autrement plus difficiles, le championnat a recouvert ses droits, avec une partie du public.

Il fallait à la Ligue être à la fois sévère et vigilante et sanctionner les tout premiers écarts pour que l'ordre règne à nouveau. Pour ne pas l'avoir fait à temps, voilà la Ligue dans de bien mauvais draps, et à prendre encore des non-décisions qui ne font que consacrer le statu quo chaotique. Puis en guise d'autre réponse, voilà que ces messieurs suggèrent tout simplement l'arrêt  du championnat. Un véritable aveu d'impuissance. Et si tel est le cas, pourquoi tout ce beau monde ne se décide-t-il pas à démissionner? Ou alors c'est encore une décision qu'ils sont incapables de prendre?!

Huis clos : est-ce bien sorcier?

C'est un peu le ras-le-bol pour le service d'ordre de nos stades. La faune qui rompt les règles du huis clos est souvent incontrôlable et responsable de tous les incidents, grands et petits, que connaît la compétition. Pourtant, ce n'est pas bien sorcier de faire respecter ce qui est la dernière plage pour notre championnat :
une liste des personnes devant assister à la rencontre, devant parvenir la veille de la rencontre (photocopie de la carte d'identité et fonction à l'appui) au service d'ordre et à la Ligue avec interdiction catégorique à toute autre personne d'accéder aux gradins et à l'enceinte de jeu.

Car le problème, le vrai, ce sont toutes ces interventions, de la part de toutes les parties prenantes, pour faire entrer un copain, un parent, une connaissance.

Ainsi identifiées, les personnes assistant à la rencontre pouvant alors et devant être sanctionnées rapidement et sévèrement au moindre écart.

Equipe nationale : quelle liste ?

En prenant ses fonctions, le nouveau sélectionneur a clairement fait savoir qu'il compte beaucoup sur nos professionnels à l'étranger pour relancer l'équipe nationale et obtenir des résultats probants lors des premières rencontres, décisives pour la qualification à la prochaine coupe du monde. Blessés ou relégués sur le banc des remplaçants, la plupart d'entre eux sont en souffrance dans leurs corps ou dans leur équipe. Le seul qui échappe à cette règle, c'est l'incontournable Wissem Ben Yahia.

Délaissé à la CAN, il en a perdu sa place dans son équipe mais effectue un retour tonitruant comme titulaire. Une preuve supplémentaire des qualités morales et techniques d'un joueur qui s'impose d'ores et déjà comme le futur patron de l'équipe nationale. Un rôle qu'il aurait dû endosser depuis un bon bout de temps sans l'entêtement coupable de nos derniers sélectioneurs.

Quels professionnels? Quels critères? Quelle liste, pour quel jeu et pour quels résultats? Nous ne tarderons pas à le savoir même si les temps sont difficiles. Pour tous, cette fois-ci : joueurs locaux et de l'Etranger.

Sami AKRIMI le: 09-03-2013

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Classement Fifa : la Tunisie recule de deux places

TUNIS (TAP) - Après un bond de 11 places le mois dernier, la Tunisie a perdu deux positions dans le nouveau classement Fifa, publié jeudi par la fédération internationale, qui la place à la 44e position mondiale et la septième place du classement africain toujours mené par la Cote d'Ivoire (13e, -1).

TAP

takilasd

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Ce « championnat de la honte » a révélé plein d'enseignements, surtout les secrets insolites du mafiosisme instauré dans ce pays tunisien sous-développé, et ce depuis trois décennies, et plus exactement lorsque Bourguiba se voit entouré en l'année 1984 par de spécialistes en la matière ; l'héritage sera par la suite assuré, à ce jour, par l'éclairé et le fouineur de ces carences, à savoir l'impérialisme occidental.
De toute cette cacophonie sociale, naquirent des marginaux mafiosos, diplômés en manigance et en esclavagisme moderne de l'être humain (des boucs émissaires nécessiteux faut-il le souligner tout de même ?), et qui  ne peut s'assimiler comme pour les pays développé d'industrie footballistique, mais plutôt d'insouciance et d'ignorance, hormis ceux dirigent les associations sportives ou culturelles dans un esprit de patriotisme et de bienfaisance comme lors des années soixante, et ce par des citoyens francs et justes en état d'extase et d'optimisme.
De toutes les manières, le football ne peut jamais combler les échecs socioéconomiques.
Cependant, la qualité intrinsèque des footballeurs étrangers recrutés par les équipes tunisiennes, qui cachent les défauts du football tunisien, induit en erreur les défaillances chroniques, entre autre, du sport en général, n'en parlons pas des autres sport collectifs, c'est un fiasco déclaré pour la pratique du sport en Tunisie. Dommage que ledit sous-développement s'engouffre inéluctablement vers l'inconnu !

Dernière modification par takilasd (05-06-2013 11:54)

takilasd

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

La ruée vers l'arbitrage

Un fléau de grande envergure est sur le point d'apparaitre dans la scène du football tunisien, et dont les conséquences peuvent être néfastes tant au niveau structurel que culturel, à savoir le créneau avarié de l'arbitrage et ses dépendances.
Le champ est ainsi devenu béant à exercer toutes formes de manipulations déclarées à partir de négociations illicites jusqu'au champ d'application ; donc autorisées implicitement, pouvant engendrer des risques d'abord psychosociaux puis psycho-comportementaux.
Ce fléau natif d'une dégringolade et d'une détérioration des valeurs morales, devrait certainement avoir des causes quant à son déclenchement impulsif. Tous les ingrédients sont ainsi réunis, progressivement et ce à partir de simples initiatives fortuites jusqu'à la mise en exécution systématique voire automatiquement usuelle.
Pareil à l'offre d'une cigarette d'un fumeur à un non-fumeur, en guise de courtoisie fastidieuse, tout commence par des propositions de badinage jusqu'à aboutir aux accoutumances ; tant que l'implication peut se considérer dans l'âme réfutée à autrui ; tant que la réciprocité destructrice et non éducatrice, est mutuelle,  l'argumentation est futile.
La propagation et l'ampleur ne peuvent connaitre de décélération que lorsque le fléau est  mis sous thérapie pour résolution définitive afin de ne pas accélérer ses répercussions dégradantes.
Les catégories de responsables qui favorisent la propagation de ce fléau sont en général :
-    A la recherche d'octroi d'un classement favorable, soit pour figurer en haut du tableau, ou à éviter  son bas.
-    Qui espèrent gagner la sympathie des supporters ou des membres de leur bureau administratif.
-    Qui souhaitent acquérir une image profitable à leur intégrité sociale.
-    Se mettre d'égal à égal avec les équipes qui connaissent plus de réussite ; et les concurrencer.
-    Faciliter par des sommes supposées modiques, le gain du match.
-    A la recherche d'une distinction de patronnât vis-à-vis des autres.
En conséquence, le corps arbitral, et des personnes opérantes, devra dès lors, dès à présent, se rabattre massivement sur cette formule pécuniaire, devenu (à leur avis et à l'avis de leurs pourvoyeurs) supplétive pour arrondir les mois. La ruée vers ce fléau s'annonce redoutable !

Gianni

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

à mon avis, il ne faut pas avoir honte de dire qu'on n'a pas de foot, de talent, d'entraineurs, d'arbitres & ensuite cette merdique de fédération

tarajjist modere

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

à mon avis, il ne faut pas avoir honte de dire qu'on n'a pas de foot, de talent, d'entraineurs, d'arbitres & ensuite cette merdique de fédération

لا فضّ فوك مختصر جامع

Dernière modification par tarajjist modere (05-06-2013 06:49)

takilasd

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

لا فضّ فوك مختصر جامع

Jusqu'à quant va-t-on constater et regarder avec indifférence voire laxisme toutes ces machinations ? Des machinations qui prennent un caractère de routine passagère jusqu'à devenir quotidienne. A qui profite réellement tout ce truquage de manège infernal ? Il ne peut exister de la forme s'il ne préexiste de fond ! Et puis ce qui complique dorénavant les répressions qui s'imposent, c'est sa propagation et son développement lents mais progressifs. Jusqu'à devenir des alibis et même des méthodes (modernes) pour atteindre une névrose obsessionnelle acquise à fur et à mesure de la découverte de ce monde dans cette minuscule terre ; et là où il y a plus de monde que ce truquage devient plus intéressant, les instincts de conservation et de violence sont les plus révélés.
Un peuple qui ne sait plus sur quel pied danser !
Peut-il distinguer l'ami de l'ennemi ?
Peut-il octroyer la confiance à autrui ?
Doit-il improviser une injustice primitivement banni ?
Doit-il utiliser la ruse pour dominer le vis-à-vis ?
Pense-t-il que la vie sur terre est finie ?
Et que seul ses vices et ses supplices sévissent ?
Pour que se réunissent son ignorance avec sa malice.

Dernière modification par takilasd (05-06-2013 15:04)

anis taraji 1919

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Classement FIFA : Cinq places perdues pour la Tunisie
   
Le classement FIFA pour le mois de juillet a été publié. La sélection tunisienne a dégringolé de cinq place et se retrouve désormais à la 47ème position au niveau mondial. Sur le plan africain, les Aigles de Carthage sont septièmes derrière la Côte d'Ivoire, le Mali, le Ghana, l'Algérie, le Nigéria et le Burkina Faso. Sur le plan mondial, l'Espagne reste leader devant l'Allemagne. Le Brésil a enregistré son retour dans le top 10 et est classé neuvième.

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

avec un truand tel Maaloul!!!! vous vous attendiez à quoi?

Classement FIFA : Cinq places perdues pour la Tunisie
   
Le classement FIFA pour le mois de juillet a été publié. La sélection tunisienne a dégringolé de cinq place et se retrouve désormais à la 47ème position au niveau mondial. Sur le plan africain, les Aigles de Carthage sont septièmes derrière la Côte d'Ivoire, le Mali, le Ghana, l'Algérie, le Nigéria et le Burkina Faso. Sur le plan mondial, l'Espagne reste leader devant l'Allemagne. Le Brésil a enregistré son retour dans le top 10 et est classé neuvième.

Steeve80

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Curriculum Vitae et Stage des entraîneurs africain dans le monde

Je suis curieux de savoir quel genre de formation ont reçu les entraîneurs qui exerce en Afrique, a ma grande stupéfaction , je suis tombé des nuages !
Apres réflexion et en visualisant le football pratiqué par les équipes qu'ils ont préparé , je ne suis pas surpris ...

-Entraîneur Lamine N'Diaye Nationalité du Sénégal.

Formation trêve international année 2007 - 2008: Villa Real (Liga Espagnol)
Formation trêve International année 2008 - 2009: Equipe National d'Espagne (Adjoint de Vicente Del Bosque durant les entraînements et observateur)
Formation trêve International année 2009 - 2013: Arsenal FC ( 1er Ligue Anglaise)

Lamine N'Diaye perfectionnant ces connaissances au coté de Vicente Del Bosque Coach de l'Equipe national d'>Espagne.

Lamine N'Diaye perfectionnant ces connaissances au coté d'Arsene Wenger au Arsenal FC

Observation : Durant l'émergence du Tp Mazembe, cette équipe d'Afrique noir pratiqué un football a l'Européenne fluide , rapide avec une circulation de balle a une touche sous le Coaching de Lamine N'diaye !!! unique club africain a avoir atteitn la final de la Coupe du Monde des club , sous l'égide du Coach Lamine et ces nombreux stage en Europe le Tp mazembe a su profité de cette apport de connaissance, Bravo a Lamine.

_______________________________________________

-Entraîneur Hossam El Badry Nationalité Égyptienne.

Formation trêve international année 2004 - 2007: Benfica Lisbone (Liga Sagres Portugal)
Formation trêve International année 2007 - 2010: Fc Porto (Adjoint durant les entraînements et observateur)
Formation trêve International année 2010 - 2013: Hull City ( 1er Ligue Anglaise)

Observation : Durant l'émergence du Al Ahly, cette équipe d'Afrique du nord pratiqué un football très technique difficile a contré , fluide , en mouvement avec une circulation de balle de large en long !!! unique club africain a avoir atteint le Gralle a six reprise qui est la CAF CHAMPIONS LEAGUE , sous l'égide du Coach Manuel José et Hossam El badry a su aiguiser ses dents avec le célèbre coach Manuel José et par de nombreux stage chez les deux club les plus réputé au Portugal.

________________________________________

-Roger de Sa Nationalité Sud Africaine.

Formation trêve International année 2008 - 2012: Manchester United ( 1er Ligue Anglaise)

Observation: Adjoint de Ruud Kroll coach actuel du Cs Sfax, Roger de Sa a pu bénéficié et s'inspiré du maître hollandais Kroll , ancien Coach du Orlondo Pirates ,kroll a su glané avec le plus grand club Sud Africain deux titre de champions 2011 et 2012 et Coupe Sud Africaine
2010-2011-2012 !
Roger de Sa assurant la relève de Ruud Kroll en 2012 , le Orlondo Pirates version 2013 ne tarie pas d'éloge avec un jeu flamboyant et spectaculaire du genre attaque a outrance et football en mouvement, sur le Site du Orlondo Pirates http://www.orlandopiratesfc.com/default.asp , Roger de Sa s'inspire et veut que sont équipe soit par le jeu pratiqué proche de Manchester United un football en mouvement et d'attaque , résultat du match , le Orlando pirates est un sérieux prétendant au Titre pour la Ligue des champions CAF.

_____________________________________

Si quelqu'un peut complété cette fiche avec les Coachs tunisien car pour le moment zéro stage zéro perfectionnement pire après avoir obtenu leur diplome a l'INF Clair Fontaine tel que Nabil Maaloul et Maher Kanzari , un stage financé par la fédération tunisienne de football 00, le football tunisien a été écrasé par le système défensif du football français un football mort, avec aucune fluidité, aucune technique , un football basé sur le physique.
Étrangement l'Espérance de Tunis version Nabil Maaloul et Kanzari semble pratiqué cette forme de football sans aucun mouvement !!!
Eric Cantona avait dit que le football fut inventé en Angleterre , mit en pratique en Espagne puis mort en France !!! J'ajouterai qu'il fut enterrer en Tunisie.

Dernière modification par Steeve80 (28-09-2013 23:54)

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Classement FIFA : La Tunisie au 47e rang

Photo CHALA © E-S-Tunis.com

D’après le classement mondial des équipes nationales publié par la Fédération Internationale de Football (FIFA), la Tunisie a perdu une place par rapport au mois de septembre et se positionne désormais à la 47e place avec 632 points. 

Néanmoins, la Tunisie a conservé sa 7e place sur le plan continental après la Côte d’Ivoire (17e), le Ghana (23e), l’Algérie (32e), le Nigeria (33e), le Mali (41e) et le Cap-Vert (42e).

ftf.org.tn

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Re : [Football tunisien] Constats, idées de réhabilitation

Krol et consorts la providence.

Krol en tant que hollandais connait comment détecter les anomalies de l'équipe nationale tunisienne, et l'enquête menée par l'Institut hollandais doit connaitre comment découvrir l'assassin (les deux) du martyr de tout un peuple et non des réfugiés (les fuyards en Europe) venus s'accaparer du pouvoir au nom de l'Islam ; ce qui constitue un péché immense d'après le Coran lui-même d'utiliser l'Islam pour des causes lucratives.
N'est-ce à ce grand monsieur, apparu hier lors d'une interview sur la chaine Hannibal. Une interview qui a définitivement révélée « leurs » arrière-pensées développées depuis le jour où ils ont foulé le noble et prestigieux sol tunisien, qu'ils feignent de ne pas connaitre ni de connaitre son histoire fabuleuse et honorable. L'interviewé joue les intelligents avec un air innocent d'un dramaturge « raté », comme à son habitude lorsqu'il apparait la télé pour injurier et dégrader les originaires « prouvés » de ce territoire ; d'ailleurs ceci prouve les complexes, sans raison toutefois, les mêmes complexes, ou presque, de leurs prédécesseurs.
Prenons l'exemple relatif au sport (comme ce site) lorsque l'un des prédécesseurs en question (qui cherche ces jours-ci à jouer la politique de l'autruche), celui-ci dès sa nomination et pour annoncer prématurément sa dictature, commence par dissoudre (carrément ; avec des prétextes caricaturaux) l'équipe sportive du Club Africain, ceci dès les premier mis de sa prise du pouvoir et ce en Juin1988. Le régionalisme était dès lors déclaré, et il devient, dès lors, l'arme maitresse de tous ceux qui aboutissent au pouvoir, sans parler des parti-pris et les allèchements variés pour peaufiner la popularité et ce à l'aide de l'argent (acquis par emprunts étrangers) ou par les biens (octroi des terres domaniales sinon par des autorisations et des permis anarchiques (exemple ceux remis aux taxis ; l'absence de bus est devenue, par ailleurs quasi intégrale) .
Le bel exemple n'est que l'interview en question, ô combien révélatrice de l'esprit inhabituel qui ronge ce pays tunisien.
Inutile de répéter que les occidentaux, les grands jaloux, demeurent la cause essentielle et les provocateurs directeurs de ce fléau. Intérêt est principal !
Les éléments nécessaires à cet institut hollandais doivent comporter, entre autres, par exemple les causes d'un mouvement non identifié, juste avant le rond point de Sejjoumi, et après la station-service, lequel lieu permettant d'accéder à l'autoroute Griaat.
Donc ce monsieur qui défie tout le monde, en pleine télé en provocateur, qu'il nous réponde à ces questionnements. Défi pour défi match nul ; pour que le hollandais Krol d'une part et l'Institut hollandais de cassation ensuite nous libèrent de ces dominations subjectives ?
Ce monsieur qui parle beaucoup (à la télé) sans rien dire, sauf de mener des campagnes d'influences à caractère xénophobes vides, à  l'encontre du peuple tunisien, pourtant un peuple connu par sa sérénité et sa bonne foi, il s'agit probablement de l'une des leçons apprises à London dans l'école (présumée) de Nelson Mandela, leur inculquant de manipuler ces religionnaires à leur guise, et puis de leur rajouter ; « tendez vos mains pour l'argent et l'allégresse fourni par l'intermédiaire du Qatar », merci toutefois à La Lybie que les frères tunisiens leurs reconnaitront, un jour ou l'autre, toutes ces dérives. Le cheiks, restés combattre « ici » ont été dépossédés de leurs passeports et démunis de leurs biens. ; ceux-là ne figurent pas dans la catégorie  des réfugiés, qui ne peut leur être certainement (en paradoxe) proposée, quoique sera-elle d'office refusée.
Grande différence de classe !
Le vrai tunisien libre refuse toute domination, toute déconsidération, voire toute humiliation. Comme lorsque ayant failli être tué par Ben Ai, non pour l'avoir injurié comme ils le lui prétendaient, mais  pour avoir osé défendre un bien confisqué par le R.C.D., tout en étant, par contre, présent sur ce territoire, et en étant seul (avec la foi d'Allah) entouré des vautours « rcedeistes » arnaqueurs pour être humilié et réprimandé, non pas parce l'ayant injurié, à savoir la méthode des faibles pour une cause de profit, mais pour défendre une cause humaine, et de même non pas selon le proverbe :
«Quand la vache tombe, les coteaux deviennent nombreux ».
La morale de cette histoire est destinée (si jamais) à l'interviewé, qui est encore jeune pour connaitre les tunisiens. Les connaitre de si loin, rien que par le biais de bobards occidentaux, cela est tout à fait différent et insuffisant que d'être présent parmi eux, et ce sans injurier, pour partir en refugié et puis de retourner en héros falsifié.
Cependant, il y a lieu d'espérer un retour à la raison, et d'arrêter d'user d'influences d'incitation à la haine sur les médias.
« Les gens sont tous pareils, quelles que soient leurs origines ; hormis cet adage personne ne peut réussir». Citation takilasd simple citoyen.