[CLA 2011] EST - MCA, le samedi 10 septembre 2011

dachra · 12-09-2011 15:52

Ah ! Je ne savais pas que le supporter de notre Dawla ressemblait à ce point aux gangs du Bronx le plus violent ! Dieu ! Comme je me sens en insécurité ! Réaction plutôt saine de SCARFACE TM. Ces gens sont (encore) capables de s'identifier à l'institution TARAJISTE...Toutes mes félicitations…,

Rédaction · 12-09-2011 16:11

CL 2011 : Réactions après EST - MCA

Nabil Maâloul (entraîneur Espérance) : "Le résultat et la manière"

"Nous avons assuré l' essentiel , à savoir la victoire, mais également la manière avec quatre buts à la clé. Sincèrement, on ne pouvait espérer mieux. C'est la preuve éclatante que l'Espérance joue toujours les premiers rôles. Pourtant, toute la semaine, nous l'avions vécue sous une forte pression car on nous critiquait pour le nul (0-0) concédé chez nous contre le Wydad. Les reproches étaient trop sévères à mon goût : cela faisait 19 matches de suite que mon équipe marquait au moins un but à chaque rencontre. Il a suffi d'un nul sans but pour remuer ciel et terre. Il aurait pourtant suffi de concrétiser l'une des nombreuses occasions, six je crois, que nous eûmes ce soir-là pour finir par étriller les Marocains. La chance ne nous a pas souri face au WAC. C'est une question de réussite. Tiens, ce soir, nous avons concrétisé les trois quarts des occasions créées. Il y a des jours de réussite, d'autres sans.

Nous n'avons désormais besoin que d'un seul point pour entrer dans le carré d’as. Nous serions même qualifiés si l'un du Wydad ou Al Ahly s'impose dimanche. Le retour de Traoui, suspendu les deux derniers matches a été très important. C'est quelqu'un de très précieux dans la liaison entre la défense et l'attaque, et, avec Korbi, il couvre la défense. Il apporte équilibre, personnalité et motivation à l'ensemble. Darragi a fait un grand match sans ballon. Je savais que Benchikha lui réservait à chaque fois un marquage particulier lorsque le coach du MC Alger exerçait avec le Club Africain. J'en ai profité pour demander à mon demi offensif de tirer les défenseurs vers lui pour ouvrir les espaces devant Traoui et permettre aux latéraux de créer les décalages. Msakni a témoigné d'une grande entente avec Darragi, et ce n'est pas là un fait nouveau. J'ai sorti N'Djeng à dix minutes de la fin pour lui offrir une standing-ovation fort méritée. De plus, il fallait lui éviter un nouvel avertissement avant le déplacement du Caire qui peut se révéler, sait-on jamais, décisif.

En demi-finales, si nous les jouons, je n'aurais en fait aucune préférence entre Enyimba, Cotonsport ou El Hilal. Nous sommes convaincus de la qualité de notre équipe d'autant que notre poule B est franchement supérieur à l'autre".

Abdelhak Benchikha (entraineur MC Alger) : "C'est tout simplement de la naïveté"

"Cela a été une rencontre très difficile et pénible pour mes hommes. L'Espérance était naturellement plus motivée, plus rigoureuse, plus déterminée et plus volontaire. Et cela se comprend aisément car l'enjeu était pour elle plus gros. Nous avons essayé de réussir quelque chose. Vainement. Nous avons en effet commis des erreurs vraiment impardonnables. Je ne veux pas pourtant me montrer sévère à l'endroit de mes joueurs. Il est inadmissible de se laisser transpercer par des ballons de trente mètres par trois fois dans un même match. Cela devient tout simplement de la naïveté. Un gros travail m'attend. Je sais que ce ne sera guère facile."

Joseph-Yannick N'Djeng (attaquant camerounais de l’Espérance, auteur d'un hat-trick) : "C'est tout le collectif qui marque"

"Après notre dernier nul, cette victoire nous fait beaucoup de bien au moral. Ce n'est pas Yannick qui marque les trois buts ce soir, mais tout le collectif, des joueurs au staff en passant par le public. C'est donc le fruit du travail de l'ensemble qui prouve que l'équipe a bien marché. Tout le monde s'est donné à fond, abattant un travail monstre. Cela fait quatre matches que je joue avec ma nouvelle équipe. Une fois je marque, d'autres non. Je ne suis pas venu à l'Espérance uniquement pour marquer des buts, pour être le seul à le faire. Je suis tout aussi heureux quand c’est l’un ou l’autre de mes coéquipiers qui le fait. Je me sens de mieux en mieux à l'Espérance. La discussion que j'ai eue avec notre coach m'a fait beaucoup de bien."

D'après CAF Online

BenM'radMachouche · 12-09-2011 16:23

Benchikha «C'est inadmissible de commettre des erreurs de débutants»

PUBLIE LE : 12-09-2011 | 00:00 | PAR T. CHE
Bracci «C'est navrant de voir le Mouloudia afficher un niveau aussi médiocre»

Lors de la traditionnelle conférence d'après- match, nous avons sollicité Abdelhak Benchikha pour nous analyser la production de son équipe qui fut loin de répondre à ses attentes. Malgré la déception de la défaite, l'ex-sélectionneur des Fennecs a accepté de répondre à nos questions. Dépité par la défaite essuyée contre les champions de Tunisie, Benchikha a tout d'abord voulu mettre en exergue le courage dont il a fait preuve pour diriger l'équipe, alors qu'il avait été fraîchement nommé pour driver les Vert et Rouge. «Ecoutez, il est clair que je suis très déçu d'avoir perdu ce match sur un score aussi large, mais c'est ça le football. Nous progressons tous grâce aux erreurs que nous commettons. Maintenant, moi je suis quelqu'un qui assume, car si j'étais un peureux, je n'aurais jamais accepté de prendre le Mouloudia avant une échéance aussi importante. Je me serais contenté de suivre cette partie dans les tribunes en tant qu'observateur et ensuite j'aurais pris mes nouvelles fonctions. Or moi, je ne fonctionne pas de cette manière-là. J'ai accepté ma mission avec tous les risques que cela comporte.»

«Si je n'avais pas opté pour le 3-5-2, on aurait pris une valise»
La titularisation de Mohamed Megherbi constituait la surprise du coach Benchikha qui a décidé d'opter pour un 3-5-2, afin de bloquer le jeu offensif des Tunisiens. Une tactique à vocation très défensive qui s'est effondrée au bout de 10 minute de jeu. Quelque peu excédé par les questions des journalistes qui lui demandaient les raisons qui ont motivé ses choix, Benchikha dira : «Je connais très bien l'équipe de l'EST qui est très redoutable, surtout dans les grandes compétitions. Si je n'avais pas opté pour le 3-5-2, on aurait pris une valise. Alors qu'on cesse de s'immiscer dans des considérations tactiques qui concernent l'entraîneur.»

«Je n'avais pas un grand choix avec trois joueurs, un gardien et un élément qui n'a pas joué depuis sept mois»
Toujours dans le même contexte, Benchikha a fait allusion à la pauvreté de son banc de touche qui ne lui permet pas d'opérer de gros changements tactiques. «Vous voulez critiquer mon coaching, mais que voulez-vous faire avec un banc qui compte trois joueurs dont un gardien de but et un élément qui n'a plus joué depuis sept mois.»

«Les joueurs ne savent pas comment se placer sur le terrain»
La majorité des buts encaissés par le Mouloudia était due à des erreurs de marquage et à un mauvais placement des joueurs sur le terrain. Benchikha, avec son œil avisé, n'a pas hésité à faire certaines remontrances à ses troupes sans citer de nom, comme l'aurait fait un certain Zekri. «C'est inadmissible de commettre, à ce niveau de la compétition, des erreurs de débutants. Les joueurs ne savent pas encore comment se placer sur un terrain. La défense s'est fait déborder à plusieurs reprises, mais à aucun moment nous n'avons pu rectifier le tir. Et cela, il faudra l'éviter à l'avenir, surtout pour des joueurs professionnels.»

«Le niveau de la C1 n'a rien à voir avec celui du championnat national»
Toujours dans un excès de colère, Benchikha ajoutera dans le même contexte : «Nous jouons dans la cour des grands avec les meilleures équipes du continent. Le niveau de la Ligue des champions n'a rien à voir avec celui du championnat national. Nous avons joué face à un adversaire qui est rompu à ce type de compétition. Cela fait plus de dix ans que l'EST participe aux joutes continentales, ce qui n'est pas le cas du Mouloudia qui est en plein apprentissage.»

«Le Mouloudia s'est fait éliminer au match aller lorsqu'il a affronté l'EST avec douze joueurs»
A propos de l'élimination du Mouloudia de cette phase de poule, Benchikha nous dira : «Vous me parlez d'élimination, mais la Ligue des champions n'a jamais été mon objectif en venant au club. Le Mouloudia ne s'est pas fait éliminer aujourd'hui, mais lors du match aller lorsqu'il a abordé la compétition avec douze joueurs seulement. Alors qu'on ne cherche pas à m'imputer la responsabilité de cette élimination.»

«Benchikha n'a pas de baguette magique pour bâtir une équipe compétitive en une semaine»
Au sujet de l'avenir de cette équipe mouloudéenne qui est passée à côté de son sujet face aux Tunisiens, Benchikha dira : «Cela fait quelques jours que je suis à la tête de l'équipe. Il me faudra beaucoup de temps pour bâtir une équipe compétitive capable de jouer les premiers rôles. Vous savez, Benchikha n'a pas de baguette magique pour tout changer en une semaine. Il y a un grand chantier qui nous attend avec des joueurs saturés et d'autres qui manquent cruellement de compétition. Je me retrouve face à un sérieux dilemme qu'il faudra bien évidement résoudre. Mais tout cela ne peut pas arriver par un simple claquement de doigts», dira en conclusion Benchikha qui a été applaudi par les journalistes tunisiens qui semblent beaucoup apprécier l'ex-coach du Club Africain.

Lui et Nabil Maâloul se donnent l'accolade
Au moment de quitter la conférence de presse, Abdelhak Benchikha a donné l'accolade à son homologue tunisien, Nabil Maâloul. Un geste qui démontre tous le respect qui existe entre les deux entraîneurs, adversaires d'un jour et amis de toujours.

Première défaite du «Général» contre l'EST
Lors de son passage au Club Africain, Benchikha avait réussi à mettre fin à l'hégémonie du club espérantiste. Avec trois défaites et deux matches nuls, l'entraîneur mouloudéen affichait un bilan très positif. Avant-hier soir, Benchikha a concédé son premier revers contre l'équipe de l'EST. Comme on le dit si bien, chaque chose à une fin.
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Bracci «C'est navrant de voir le Mouloudia afficher un niveau aussi médiocre»
Présent au stade d'El Menzah pour assister au match du Mouloudia, François Bracci a suivi la déroute de son ancienne équipe avec le cœur serré. Profitant de l'occasion, il était logique de connaître l'avis du coach corse qui n'a pas du tout reconnu son équipe qui était loin de son niveau habituelle. «C'est navrant de voir le Mouloudia afficher un niveau aussi médiocre. On s'est battus comme des diables pour décrocher le titre et avoir le droit de jouer une compétition aussi prestigieuse pour finalement la vendanger de cette manière-là. Le Mouloudia de ce soir a été dominé dans tous les compartiments par cette équipe de l'EST. Le Mouloudia a payé cash son manque d'expérience dans le très haut niveau. Les matches préliminaires n'ont rien à voir avec ceux de la phase des poules.»
«Je suis prêt à trouver un compromis avec la direction du MCA»
Au sujet de l'argent que le Mouloudia doit lui verser, François Bracci serait prêt à trouver un accord à même d'arranger les deux parties. «Je suis prêt à trouver un compromis avec la direction du Mouloudia sur l'échelonnement de la dette, si on me le propose bien évidement», nous a-t-il confié avant de quitter le stade. Bracci devait aussi suivre la rencontre d'hier entre le Club Africain et l'ASEC Mimosa, avant de rentrer ce jeudi au bercail.
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Les gaz lacrymogènes ont failli avoir raison de Douadi, Amroune et Attafen
Durant le second half, Mohamed Amroune s'est écroulé durant quelques minutes sur la pelouse. On croyait que c'était un vilain coup asséné par un défenseur adverse qui était à l'origine des douleurs de l'avant-centre. Finalement, Amroune, Douadi et Attafen avaient des difficultés à respirer en raison des bombes lacrymogènes qui ont été lancées par les forces de l'ordre sur les supporters de l'EST qui se livraient une «guerre» sans merci.
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Les dirigeants et les joueurs ont demandé l'arrêt du match
Voyant que les forces de l'ordre usaient de façon abusive des bombes lacrymogènes, certains joueurs et les responsables de l'équipe ont demandé à l'arbitre du match, le Nigérian Ouakman Souloumane, d'arrêter la partie. Mais le referee n'a rien voulu savoir, préférant continuer la partie au risque de mettre l'intégrité physique des joueurs en péril.
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Le Mouloudia a rédigé un rapport accablant à la CAF
En raison des graves incidents qui ont émaillé le match EST-MCA d'avant-hier, les responsables du Mouloudia ont décidé de rédiger un rapport accablant pour dénoncer tous les événements qui ont marqué le court séjour de la délégation. Le bruit dans l'hôtel, l'absence de billets et les affrontements entre les supporters qui ont contraint le service de sécurité à faire usage de bombes lacrymogènes sont venus appuyer ce rapport qui devra être remis à la plus haute instance du football africain.

novantezimo · 12-09-2011 17:32

ESPERANCE : Grandiose, j'espère qu'elle fasse pareil contre El Ahly.

JOUEURS : Très appliqués très motivés très bonne performance

DARRAGI : passait la plus mauvaise période de sa saison. En baisse de forme, il n'arrivait plus à assurer la liaison entre la première relance et les attaquants. Et pour cause, généralement, cette liaison, il la faisait lui-même, seul, avec le ballon dans les pieds malgré sa méforme alors qu'il faut cherchait la bonne formule par les passes rapides à ses équipiers.

PUBLICS : Un public très conscients qui aiment son équipe

VIRAGE : Un virage de [***mot à éviter***]

takilasd · 12-09-2011 23:45

patron a écrit :

l'esperance a décidé de porter plainte contre anonyme suit aux évènement d'hier

Non, ce ne sont pas des anonymes, ce sont des mercenaires engagés par l'Etoile sportive du Sahel ; il n'y a aucun d'autre qui peut agir de la sorte. Et la rémunération s'effectue avec du « chrab » ; thème du vin. Cette pratique a été très appuyée et encouragée par les fervents chauvins de ladite équipe depuis bien longtemps ; et cela ne coutait rien (pour eux riches de l'argent ramené de la rivière) de chauffer les esprits de la présence aux gradins, en livrant gratuitement le chrab avant (et même au cours du match) à ces gâtés. C'est ainsi que commença l'ère des échauffourées dans les stades et hors du stade, dont la fameuse rixe du péage de Hergla, après que l'E.O.G.Kram et comme lors dans presque toutes les parties contre l'Etoile, la ballote, la domine et sans parler de ce joueur du Kram Baba Georges qui en fit des siennes en essuyant le gazon du stade d'EL Marsa à sa manière ; ce qui a déplu extrêmement à ces supporters surexcités de plus par le chrab. Le Chrab s'est révélé d'abord un appât pour en faire des partisans à cette équipe (la débandade et le gabegie devenaient omniprésent soit dans le stade (qu'ils ont confisqué à l'Etat tunisien) de Sousse, et puis dans les voies publiques et autres lieux dont les cafés de Tunis archipleins de chômeurs paresseux, les partisans du tout prêt ou à savoir ceux disposant d'une chaise et d'une une table bureau ou ceux d'une chaise (sans oublier d'être assis en haut pour dominer les clients ; et sans jamais les répondre à leurs petits bonjours, et d'une caisse, ou bien d'une rente délivrée par l'Etat comme une terre agricole domaniale,; et dont les contacts avec les mains-d'œuvre s'accomplit à l'aide d'un Gsm, tout en étant planqué dans le véhicule quatre-quatre reçu par le biais de la banque leasing ; enfin de devenir partisan de l'étoile du Sahel est semblable de devenir un respecté R.C.Déiste ; mais espérons non plus maintenant Une anecdote mérite d'être narré en la circonstance, celle lorsque un professeur (français de nationalité) s'adressa d'un ton ferme et décidé, à des élèves d'une classe du cycle secondaire tunisienne, et de leur dire, alors que ces élèves étaient supposés de bons élèves (plusieurs le prouvèrent par de hauts diplômes par la suite ; et ce qui a sûrement obligé ce brave professeur d'être franc avec eux), qu'ils sont des paresseux comme tous leurs concitoyens tunisiens, et pareillement à la majorité des africains ; et que tous les cafés sont pleins de nuit comme de jour de vacants ; par la remarque de ce professeur , d'ailleurs nous-mêmes en maxime, nous disons que par paresse nous n'osons même pas lever nos mains à nos têtes. Et ce professeur de leur rajouter, que la raison de cette paresse, c'est la forte chaleur climatique de la région ; mais cette dernière excuse semble, de sa part, plus de finesse qu'habileté.
Cette tactique de saoulerie à des boucs émissaires (en fin de compte), se révéla plus que payante, car crédulité des gens aidant, il devient possible avec quelques bakchichs. Et étant efficace, son utilisation donc en cette période cruciale alors que chaque clan (partis politiques et autres) cherche à s'accaparer non pas du pouvoir, même comme relaté sur ce site auparavant, et dont surtout de la capitale Tunis, à savoir que tout le monde veut de Tunis la convoitée et rien que Tunis (et dès maintenant, illico, comme le dit un de ces partis ratés en publicité malsaine, et de plus à la télé. Tous des ratés car, ils n'ont aucune stratégie commune pour corriger les erreurs, et il faut le dire et rappeler, celles de Bourguiba et de Ben Ali. Des erreurs, avant qu'elles ne deviennent de nos jours fatales, mais malgré tout qui furent détectées et étudiées, lors des années soixante-dix, pour leurs résolutions. Et sentant venir le danger socioéconomique parmi toutes les hautes instances de l'époque, de ces questions névralgiques du pays, et qui sont l'atténuation de l'exode rural, non pas comme dit des grandes villes et ce par certains cherchant assurément à dévier et fuir les réalités mais, de Tunis ceci d'une part, et d'autre part la question de la décentralisation des administrations et des institutions voire des sociétés, dont l'activité se rapporte exclusivement à la région, positionnées dans l'endroit ou le chef(lieu de leurs gouvernorats respectifs. Cette dernière question est pertinente car ces partis sont d'accord pour le développement régional ; mais tout en gardant Tunis comme pôle de l'hébergement. Cependant ceci leur devient contradictoire pour tous les domaines (d'où cette inhibition qui poursuit une partie de ce peuple), sans parler de celui qui resta précaire à mort concernant l'agriculture, malgré l'initiative judicieuse de Ben Salah, mais qui a été défigurée (déguisée) et sabotée pour, les devenus coutumiers, lesdits intérêts personnels. Ce sont ces présumés, ou leurs mauvaises graines, qui cherchent maintenant à semer la zizanie pour préserver les privilèges. Et qu'ils ont ainsi retransformé ces initiatives ambitieuses carrément en capitalisme et le tour à Bourguiba, cette âme croyante, était joué. D'autant que cela émane de ces condisciples de sa région qui sont arrivés en fin de compte à l'amadouer et lui toucher dans ses points faibles ; qu'ils ont appris avec le temps et les événements à les connaitre et à les perfectionner ; mais de le répéter toujours, hormis les bienfaiteurs et les gens biens de cette région, car à Sousse et à Monastir, cette catégorie honnête a existé, et existe toujours présent, et de narrer qu'il s'agit du fief de Bourguiba serait une calamité et une injustice envers tout le monde. Sauf qu'on ne peut jamais parler de capitalisme tant qu'on est un pays en voie de développement, pour ne pas dire moins (en se situant aux années soixante, mais plus maintenant car notre retard s'est creusé davantage et ne semble plus, sans être défaitiste, qu'un simple mirage (tant qu'i y a la de vie il y a de l'espoir) ; ni même de communisme, de toute façon avec la paresse de ce peuple, cela reste du domaine de l'impossible. Quel fiasco en tout genre, de corruption ! Cela veut dire que parce qu'il y a, actuellement, un gouvernement provisoire, que l'on profite alors pour se permettre la gabegie et essayer de prendre le dessus pour dominer ce gouvernement ; les tunisiens sont ainsi égal à eux-mêmes avec leur mentalité de sauter sur les faiblesses pour s'approprier dans l'illégal et le péché divers biens. Ce gouvernement qu'on ose à l'évidence critiquer sans raison, sauf pour que l'on constate et l'on devient certain dorénavant, que la mauvaise foi de ces perturbateurs avides d'intérêts d'ordre personnels et de coloniser à leur manière cette maudite capitale, qui devient la cause de tous les malheurs, par sa forte concentration démographique, du peuple tunisien, et ce malgré les efforts patriotiques et historiques des membres de ce gouvernement, qu'ils accomplissent en cette cruciale période hypothétique.
Et pour reparler de ce naufrage de la capitale, que l'on constate amèrement, actuellement, que des gens peinent, malgré les anarchiques sollicitations de la Banque de l'Habitat (Cnel en fut complice auparavant) et les promus nouveaux riches (les génies de l'escroquerie formés dans des soi-disant pseudos facultés de gestion, de commerce et d'architectures ayant accomplis leurs forfaits dans les parages (les milliers d'hectares) d'El Menzah, Manar, Ain Zaghouan et d'autres lieux innombrables Mourouj, alors qu'une autre facette d'infinies cités populaires qui quant à eux vivent, dorment en intermittence à tour de rôle (par roulement) dans des huttes et se nourrissent des sandwichs dans de le nombre en exponentielle de sandwicheries ne peut jamais être recensé. Toutes ces bâtisses (ciments et briques amassés) entassées les unes sur les autres, mais par contre érigées pour la cause d'accroitre la popularité de Bourguiba et puis de Ben Ali (à chacun l'explication tant psychologique que sarcastiques de ces actes trompeurs) à l'égard d' un peuple désorienté et innocemment dépourvu de sens de citoyenneté et de vouloir réussir le cap de la réelle autonomie interne et non la fallacieuse de 1955 ; nous y reviendrons avec les interrogations de cette indépendance mirage et les divers assassinats des justes militants ; les écrits de livres de louanges de quelques alléchés par le pouvoir et de se rapprocher de cet ex-président (que Dieu lui pardonne) ont permis avec les discours de théâtraux de tirer plusieurs conclusions le dévoilage de plusieurs vérités amères.
Tout est intimement lié, dont ces actes provoqués par des insensés (parrainés) dans entre autres les stades ; pour que l'explication soit plus nette et relative à quelques uns. Néanmoins, cette anxiété hystérique, quoique partiellement, qui exorcise en quelque sorte les individus conscients et honorables, soit par humilité et leur fierté (et non pas de poussière) doit être mise en exergue communément par tous les partis avant de lever définitivement les risques dont peuvent découler les mauvaises stratégies soit de la répartition démographique ou celle concernant le développement optimal des régions (optimal veut dire exactement uniformément égal pour toutes les villes; des actes comme expliqués qui sont commandités et des préjugés (gamins) portés aux braves membres de notre actuel gouvernement, sans toutefois omettre de signaler que cette caste ne constitue qu'une minorité car nous avions entendu tout de même des interventions dans divers médias relatant les mérites et bravoure de ce gouvernement. Et ce n'est que maintenant nous les avons réellement compris ces commanditaires des mercenaires, et non après coup ou par faiblesse, pour les mauvais tours qu'ils espèrent nous rejouer , et ce dans l'intention de reprendre les privilèges et de se distinguer des autres gens comme avant.

Dernière modification par takilasd (14-09-2011 22:12)

Tarek.Ben'Mohamed'Ameur · 13-09-2011 11:03

novantezimo a écrit :

ESPERANCE : Grandiose, j'espère qu'elle fasse pareil contre El Ahly.

JOUEURS : Très appliqués très motivés très bonne performance
DARRAGI : passait la plus mauvaise période de sa saison. En baisse de forme, il n'arrivait plus à assurer la liaison entre la première relance et les attaquants. Et pour cause, généralement, cette liaison, il la faisait lui-même, seul, avec le ballon dans les pieds malgré sa méforme alors qu'il faut cherchait la bonne formule par les passes rapides à ses équipiers.
PUBLICS : Un public très conscients qui aiment son équipe
VIRAGE : Un virage de [***mot à éviter***]

Khouya, Darragi a réalisé un très grand match TACTIQUE. Il a écouté les consignes du coach Maaloul et les a appliquées à la lettre. Un match presque sans erreur.
C'était Traoui qui s'est chargé du rôle de Darragi en partie. Ce dernier a laissé d'énormes espaces en tirant avec lui les Mouloudéens qui le chargeaient. Car il y avait un marquage très strict sur darragi.
Il bougeait, faisait des appels-contre appels pour laissé à Traoui le role et la place pour offrir de bon ballon au attaquant.
Cependant, Darragi a été très bon sur le 1er but, et a fait une passe décisive.
Moi personnelement j'ai bien aimé ce rôle qu'il a adopté. Bravo coach, tu as gagné ton duel contre BenCHika.

anis taraji 1919 · 13-09-2011 11:10

la Confédération africaine de football (CAF) a désigné l'arbitre soudanais Khaled Abderrahmane pour diriger le match El Ahly d'Egypte / Espérance de Tunis, comptant pour la dernière journée de la phase de poule de la Ligue des champions d'Afrique de football qui aura lieu le vendredi 16 septembre au Caire.
Khaled Abderrahmane sera assisté de ses compatriotes Mohamed Ali Oualid et Mohamed Eltom.
la Presse

novantezimo · 13-09-2011 15:50

Tarek.Ben'Mohamed'Ameur a écrit :

Khouya, Darragi a réalisé un très grand match TACTIQUE. Il a écouté les consignes du coach Maaloul et les a appliquées à la lettre. Un match presque sans erreur.
C'était Traoui qui s'est chargé du rôle de Darragi en partie. Ce dernier a laissé d'énormes espaces en tirant avec lui les Mouloudéens qui le chargeaient. Car il y avait un marquage très strict sur darragi.
Il bougeait, faisait des appels-contre appels pour laissé à Traoui le role et la place pour offrir de bon ballon au attaquant.
Cependant, Darragi a été très bon sur le 1er but, et a fait une passe décisive.
Moi personnelement j'ai bien aimé ce rôle qu'il a adopté. Bravo coach, tu as gagné ton duel contre BenCHika.

Un joueur qui se retire dans un coin dans un but d'attiré avec lui un ou deux joueurs de l'équipe adverse ce n'est pas du jeu sans ballon c'est une technique préhistorique en voie de disparition et ne peut en aucun cas être assimilé à un jeu sans ballon.

Le jeu sans ballon est en liaison étroite avec le démarquage la capacité de transmettre la balle et la capacité de la recevoir.

Les joueurs d'aujourd'hui doivent savoir non seulement utiliser leur bagage technique à un rythme soutenu quand ils sont en possession de la balle, mais aussi, et surtout, participer au jeu d'équipe, dans les deux phases de jeu. Le football d'aujourd'hui, en effet, plus que dans le passé est jeu d'équipe. En analysant les statistiques concernant la possession de balle d'un joueur, les statistiques montrent que dans un match, le footballeur est en possession de balle seulement pendant une période de temps très limité. Cela souligne l'importance du jeu sans ballon, aussi bien en phase défensive qu'en phase offensive.

C'est ça le jeu sans ballon, s'il est vrai que dans le jeu moderne la capacité technique de chaque joueur est essentielle, cela est d'autant plus vrai en étant une équipe constituée par 11 joueurs, quand un de ceux-ci sera en possession de la balle, le jeu (mouvement) sans ballon des autres joueurs deviendra déterminant. Ce sera la qualité des mouvements sans ballon qui déterminera l'efficacité de jeu du porteur et, donc, de la continuité de l'action initiée.

Joué sans ballon c'est du mouvement qui sert à ne pas donner de points de référence aux adversaires, le but n'est plus d'attiré deux joueurs vers lui pour dégagé un équipier mais le but du jeu sans ballon est de se déplacer, peu importe la manière mais dans des espaces justes c'est-à-dire ne jamais se présenter en ligne par rapport à la balle. La disposition en triangle est la solution idéale parce qu'elle consacre plus de possibilités de jeu pour le porteur de balle. Se trouver aligné est donc une faute, parce qu'on facilite la passe horizontale, qui est très dangereuse.

En résumé DARRAGI n'a pas joué sans ballon il n'a crée ni d'espace et il n'a fait aucun appel dangereux et il n'a servi aucune passe décisive.

Gianni · 13-09-2011 16:48

notre équipe s'améliore surtout du point de vue tactique et nous avons vu qu'elle est + créative qu'al ahly ou le wac, la solidité il nous faut encore du travail

BenM'radMachouche · 13-09-2011 16:54

novantezimo a écrit :

En résumé DARRAGI n'a pas joué sans ballon il n'a crée ni d'espace et il n'a fait aucun appel dangereux et il n'a servi aucune passe décisive.

Désolé noventizimo, [Oussema Darragi] a fait le débordement et le centrage qui a amené le 1er but. La passe précise sur Yannick démarqué et le 3ème but ...
Je crois qu'on a regardé deux matchs différents... un petit retour en arrière pour te rafraîchir la mémoire:
http://www.dailymotion.com/video/xl0w7i … ger_sport{

Dernière modification par BenM'radMachouche (13-09-2011 17:21)

esperance1970 · 13-09-2011 17:29

Darragi a fait de son mieux il est toujours present avec lui la rentabilite et l'efficacite sont de mise la quasi-totalite de nos realisations sont tributaires de son genie

Tarek.Ben'Mohamed'Ameur · 13-09-2011 20:45

Moi, je ne suis pas un expert du foot. Mais je m'y connais un peu quand même.
L'Espérance à gagné 4-0. Darragi a fait une passe décisive et a participé à plusieurs actions très dangereuses.
Le coach (spécialiste dans son domaine) a dit que Darragi a réalisé un match excellent au niveau de la stratégie de jeu de l'équipe.
Il n'a pas marquer, mais il a fait une passe décisive.
JE dis que c'est une bonne performance collective et individuelle du groupe.

novantezimo · 14-09-2011 11:31

BenM'radMachouche a écrit :

Désolé noventizimo, [Oussema Darragi] a fait le débordement et le centrage qui a amené le 1er but. La passe précise sur Yannick démarqué et le 3ème but ...
Je crois qu'on a regardé deux matchs différents... un petit retour en arrière pour te rafraîchir la mémoire:
http://www.dailymotion.com/video/xl0w7i … ger_sport{

Excusez moi MACHOUCHE j'ai regardé le même match mais je l'ai suivi depuis les gradins « ex : demi gradin » et j'ai passé presque tous le match sous la fumé des fumigènes et sous le vent qui souffle le lacrymogène et le bordel de la Curva sud, j'ai suivie ton conseil et j'ai revue les actions des buts et j'ai trouvé que tu a raison et j'ai été très sévère dans mon jugement sur DARRAGI.

Je n'avais l'attention de m'acharner contre DARRAGI, j'encourage toujours ce joueurs mais il a levé haut le pallié au cours de cette saison et je ne peux pas accepter que son niveau baisse dans un moment aussi important.

J'espère qu'il revient rapidement a son niveau habituel parce qu'ont à besoin de lui et de tous les joueurs en cette période critique.

W EST W MAKACHKHINE

EST supporter · 14-09-2011 16:23

Darraji est indispensable á l'équipe. Meme quand il n'est pas tres en forme, il est souvent décisif soit en marquant soit en mettant ses coéquipiers en bonne position pour marquer. En plus, il est souvent l'objet dún marquage strict et parfois agressif. Cela dit, j'espere que Maaloul le fera jouer le match entier meme si notre golden boy pourrait paraitre émoussé et en petite forme, car á tout moment il peut faire la différence. Les Egyptiens d'Al Ahly seraient plus que contents si notre coach le laissait sur le banc ou le faisait sortir avant la fin du match.

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Benchikha «C'est inadmissible de commettre des erreurs de débutants»

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