Callisto Pasuwa (entraîneur de Dynamos FC)

«Nous avons fait le maximum. Nous aurions pu marquer davantage. Nous avons eu souvent l'initiative du jeu. Notre prestation est sans commune mesure avec celle que nous avions réalisée à Tunis. Cela fait partie des leçons à cogiter. Il y a encore beaucoup à apprendre du football africain et de ses clubs-phares au rang desquels figurent depuis longtemps l'Espérance. Il était irréaliste de prétendre que nous avions encore une chance de leur mettre sept buts sans en prendre aucun. Il nous reste à nous concener désormais à nous concenter sur la Coupe de la Confédération en espérant y trouver une place».

Michel Decastel (entraîneur de l'Espérance)

«Nous savions qu'ils feraient l'impossible pour tenter de nous tendre un piège. Il y a eu de bons moments, un football tactique bien conçu mais mes joueurs ont joué trop détendu. Difficile de leur faire de gros reproches car ils savaient tous que nous n'encaisserions pas une valise pleine de buts. Les Dynamos ont attaqué. Nous on a marqué les premiers. Là il fallait qu'ils en marquent huit. Ils ont égalisé et s'en sont sortis avec un nul. Ils ne sortent pas sur une défaite chez eux et c'est très bien ainsi.

Nous, on va devoir renforcer notre travail avec les joueurs de devant. Il y a encore des corrections à apporter afin d'optimiser le rendement du groupe quand il s'agira de défendre notre titre avec des adversaires tout aussi déterminés que nous mais qui eux voudront faire chuter le tenant de la couronne».