Zied Tlemçani déclare la nouvelle saison de chasse ouverte !


Trop de bruit ... pour la présidence de l'Espérance !
Trop de bruit ... pour la présidence de l'Espérance !

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"Je pense que le public sportif tunisien est conscient. Il sait démêler le vrai du faux; il sait quel discours croire et de quel discours douter." Zied Tlemçani

"Pour nous, Ben Ali, ici, est en train de construire … a construit un pays … notre pays, sur les bases de la tolérance; notre religion aussi se base sur la tolérance. Donc personne n'a à me donner de leçons quant à la façon dont je dois me comporter !" Zied Tlemçani

 

Zied Tlemçani part à la chasse de la présidence de l'Espérance. Il garde le même fusil d'épaule, mais change de cible. Après Slim Chiboub, puis Aziz Zouhir, la nouvelle cible n'est autre que le président actuel de l'Espérance Sportive de Tunis (EST), Hamdi Meddeb. Il nous donne une énième preuve qu'il est le meilleur joueur tunisien de tous les temps, le meilleur joueur tunisien … sans ballon ! Ce sont les colonnes du journal Al Chourouk qui lui ont servi de champ de bataille. Une lecture du discours de Zied Tlemçani et un rappel de quelques faits pour dire que c'est l'Espérance qui compte pour les espérantistes et que tous ses présidents lui sont serviteurs au risque d'être rejetés par le public de la vieille dame sans rides.

En prologue, deux citations de Tlemçani, tirées de la vidéo qui accompagne l'article. Dans la première, il ne croyait pas si bien décrire le public sportif tunisien, que dire alors du public Sang et Or !

Dans la deuxième, un clin d'œil : il base sa critique de Meddeb sur des associations assez déployées par les néo-révolutionnaires qui étaient impliqués jusqu'au coup avant le 14/1 pour se forger une nouvelle réputation… . Il demande à H. Meddeb : "Où étais-tu le 14 janvier ?" Nous sommes en droit de lui demander : "Où étais-tu avant le 14 janvier ?" Car le 14 janvier, même Moez Ben Gharbia et Sami Fehri, après le théâtre de la veille, sont descendus à la rue – Ben Ali était, à l'évidence, politiquement mort ! Pour faciliter la tâche à Zied le révolutionnaire, on va lui demander "Où es-tu après le 14 janvier ?" Si Z. Tlemçani veut attaquer H. Meddeb sur ce volet là, il doit être, lui, au dessus de tous reproches, ce qui n'est pas le cas ! Et pour fermer la parenthèse de la seconde citation, ceux qui veulent qu'on ne leur donne pas de leçons ont intérêt à ne donner de leçons à personne, au risque de se permettre ce qu'ils dénient aux autres.

 

Interview de Tlemçani, en deux parties :

 

Le journaliste nous déclare Tlemçani poussé à réagir aux déclarations de Meddeb à propos de l'ex-joueur Sang et Or sur les colonnes d'un hebdomadaire, sans mentionner ni le journal en question, ni le contenu du texte publié. Et si nous ne revenons pas sur cet épisode c'est que nous ne disposons pas de l'article en question. Autrement on l'aurait fait volontiers.

Selon le journaliste, Sami Hammani, Tlemçani a contacté le journal pour divulguer des confidentialités gardées, jusqu'à l'attaque de Meddeb, secrètes pour le bien de l'Espérance. A le prendre au mot, l'interview atteste que le bien de l'Espérance ne prime plus pour lui; autrement, sa personne a pris le dessus. Mais sur ce point on va lui accorder le bénéfice de l'auto-défense.

De quoi est coupable Hamdi Meddeb ? Procédons par points et contrepoints, pour suivre l'argumentation du requérant et du journaliste.

Tlemçani, par l'intermédiaire d'un envoyé crédible, conteste la légalité du Bureau Directeur (BD) actuel de l'Espérance. Et c'était un rappel ! Ce qui veut dire qu'il y avait des mises en gardes précédentes. Le BD est illégal car Meddeb n'a pas de vice-président et n'a pas tenu deux assemblés générales évaluatives. Pas à la hauteur de l'EST, continue Tlemçani, surtout que Meddeb n'a pas été élu mais désigné par l'ancien pouvoir.

Si nous avons la mémoire bonne, Zied Tlemçani n'a raté aucune occasion pour dire au public Sang et Or qu'il a retiré sa candidature à la présidence de l'EST par respect à l'un des symboles du club Hamdi Meddeb. Le tenait-on par la gorge pour faire ces déclarations ? En tout cas de figure, il nous a menti deux fois ! Il a même groupé mensonge et hypocrisie !

La réponse de Meddeb n'a pas tardé : un envoyé voyou qui profère des menaces émanantes de Meddeb lui-même, comme quoi ses milices pourraient avoir Tlemçani à tout moment alors que lui il pourrait acheter tous les biens et avoirs de l'ex-joueur Sang et Or. Mais dis donc M. Tlemçani, ne te trompes-tu pas d'adresse ici ? Ces affaires sont résolues dans les cours de justice et non chez Al Chourouk ! Sauf si … . Nous laissons les aspects juridiques aux concernés, car ce qui nous interpelle c'est l'aspect propagandiste de ta victimisation : Rien ne surprend notre victime car Meddeb est l'un des symboles de l'ancien régime, alors que l'Espérance n'appartiendrait qu'au large public et non aux personnes, ni aux capitalistes puisque symbole du peuple et non de capitalisme. Un lien subtil subitement découvert par un néo-révolutionnaire qui parle au nom du peuple ! C'est en vogue ces jours, n'est-ce pas ? Nous nous demandons comment la conscience du public sportif a échappé à Tlemçani sur cette trouvaille populiste !

Un second grief : Alors que Hamdi Meddeb signait des contrats avec Sakhr El Matri la veille de la révolution, Zied Tlemceni campait, le 14 janvier, devant le Ministère de l'Intérieur jusqu'à la fuite du président déchu ! Et voilà que Tlemçani s'immole sur l'autel de la révolution ! On dirait que si Tlemçani n'était pas là, Ben Ali serait toujours au Palais de Carthage ! Le public Sang et Or ne raterait certainement pas que cette image d'enfant de chœur du peuple de l'Espérance ne convient qu'à quelqu'un qui lorgne vers la présidence du club, mais qui manque cruellement d'une légitimation à la mesure de cette ambition. Zied a oublié de dire, mais le public espérantiste le saura, que la société qu'il dirige fait déjà des transactions avec Tunisiana, entre autres. Selon WMS (webmanagercenter) "La société Bitaka, dirigée par Zied Tlemçani, a choisi d'opérer dans les services de télécommunication, notamment sur le créneau des cartes de recharge essentiellement utilisées par les opérateurs de téléphonie mobile Tunisiana et Tunisie Télécom. Selon son management, Bitaka assure aujourd'hui plus de 50% de la distribution des cartes de recharge, soit plus d'une carte sur deux." Tlemçani a visiblement précédé Meddeb de plusieurs étapes sur ce volet là : il a signé ses contrats bien avant le 14 ou 13 janvier. Ses associés ? Le public sportif les connait !

Pourquoi ce besoin pressant de se forger une nouvelle réputation ?

Troisième doléance : La caravane de solidarité à destination de Fernana ! En plus du démenti publié sur le site officiel du club, Kamel Bouhaouala, le secrétaire général,  a mis les points sur les "i" dans la livraison du journal Le Temps du 18 février 2011 : "D'abord … pourquoi Fernana et pas Sidi Bouzid, Gafsa, Kasserine voire Redeyef et Thala. Ensuite, l'Espérance n'organisera pas une caravane pour Fernana rien que par respect à ses habitants qui gagnent leur vie à la sueur de leur front à l'image de tous les citoyens de la région. Aussi, le comité directeur de l'Espérance tient-il à dénoncer le comportement de celui ou de ceux qui cherchent à tirer profit, en son nom, de la Révolution à des desseins qu'eux seuls, connaissent." Les desseins sont désormais connus au large public espérantiste ! Tout manigancer sans consulter le club dont on utilise le nom relève du dépassement de ses prérogatives visant de la propagande gratuite ! Nul n'a le droit d'organiser quoi que ce soit au nom du club sans l'aval du club – Zied Tlemçani aurait pu l'organiser en son propre nom s'il le voulait ou attendre qu'il devienne président de l'Espérance ! "Elementary," dirait Sherlock Holmes à Dr. Watson dans les œuvres du Sir Arthur Conan Doyle ! Etait-ce une stratégie propagandiste calculée ? Nous compterons sur le discernement du public Sang et Or auquel nous faisons beaucoup plus de confiance.

Les autres doléances relatives au révolutionnaire et à la récupération politique ne méritent vraiment pas qu'on s'y attarde. Tellement la chasse à la présidence vire à la chasse aux sorcières politiques. "Celui dont la maison est de verre doit se garder de jeter des pierres aux autres," dit le proverbe que Zied Tlemçani semble oublier.

Révolutionnaire ou lèche bottes ?

Jérémiade suivante : Meddeb refuse l'aide gratuite de la société Tlemçani en matière de cartes d'abonnement et opte après juste une année de coopération pour une autre en casquant une contrepartie financière. En professionnel, Tlemçani doit savoir que quand il ne respecte pas ses engagements quant aux délais de livraison, l'Espérance a le droit de chercher ailleurs quitte à payer un fournisseur professionnel qui tient ses promesses. Éviter une collaboration gratuite qui comporte risques et écueils pour une prestation payante mais plus professionnelle est une décision sage.

La deuxième vérité, selon le journaliste rapportant l'ex-attaquant terrible de l'Espérance, est que lorsque ce joueur se dirigeait au Parc, Meddeb prenait le Chemin du Bardo ! Quel crime de lèse majesté ! Voulait-il dire que Meddeb était de famille stadiste ? Voulait-il dire que Meddeb est moins espérantiste que lui ? Quelle révélation historique ! Le public Sang et Or est sous le choc ! Il n'en revient pas !!! Après la légitimité politico-populaire, il se cherche une autre légitimité sportive. Des stadistes comme Meddeb, on en redemande. Des espérantistes comme Tlemçani, on ne veut même pas l'imaginer !

Suite à cette vérité choquante aux âmes sensibles, Tlemçani invite son président à un débat (une confrontation, serait plus approprié comme terme) télévisé et met en doute le fait que Meddeb accepte son défi. Il connait certainement que lorsque l'Espérance a besoin de Meddeb, le président met, immédiatement et sans tergiverser, les mains dans les poches et se plie en quatre pour servir son club, alors que lui, il n'est capable que de sortir des discours lamentables de la caverne buccale. L'Espérance a besoin d'hommes d'action. Nous citerons le président de l'Olympique de Béja qui a déclaré dernièrement que seule l'Espérance est capable de survivre cette crise que connaissent les clubs en Tunisie grâce à la générosité financière de son président.

Tlemçani n'a toujours pas vidé son sac; cette fois-ci, il évoque les résultats catastrophiques de l'EST sous l'ère Meddeb. Avec l'Espérance que Tlemçani a contribué à construire, doit-on le rappeler, l'EST a terminé dernière de sa poule alors qu'elle devait passer en demi-finales avec Al Ahly, l'ASEC et Al Hilal du Soudan n'étant pas des foudres de guerre. Patrick Liewig, jadis coach de l'ASEC, est actuellement en Tunisie et peut le confirmer. L'Espérance de Meddeb, par contre, a terminé tête du groupe devançant le champion en titre et les coriaces de l'ES Sétif, finalistes de la Coupe de la CAF 2009. Elle a ensuite éliminé le sextuple champion d'Afrique. Et si Tlemçani tiens le 5 – 0 de Lubumbashi comme référence, nous voulons attirer son attention que les corbeaux sont déjà impliqués dans une nouvelle affaire de corruption et ce dès les premiers tours. Les congolais ont proposé $10 000 au trio arbitral égyptien qui a officié leur match des seizièmes de finale aller face aux tanzaniens de Simba. Yasser Abderraouf et ses assistants ont même été menacés de mort. Un rapport fût envoyé à la CAF qui pourrait louer les efforts des congolais. Quant au match face à l'Etoile, il nous ment encore deux fois car sa déclaration à Al Chourouk est diamétralement opposée à ses analyses sur Dimanche Sport. Et tant qu'on y est, pourquoi offrait-il ses services gratuitement à Razi Ganzoui ? Etait-ce pour rien ? Les résonances qu'il donne aux actes de Meddeb ne s'appliquent-elles pas aux siens ? Comme il le sait, le public espérantiste n'est pas dupe, et il saura répondre ! Il saura aussi le remercier pour être venu personnellement à sa rescousse au Caire; jamais il ne te l'oubliera monsieur le chevalier de la balle ronde.

L'autre facteur qui gêne l'ex-attaquant espérantiste : Les sanctions à répétition, et la faute est toujours à Meddeb ! Au moins, l'homme tente, entre autres, d'instaurer la discipline. Et qu'il ne nous dise surtout pas que la discipline à l'Espérance, lorsqu'il y était, était meilleure car les habitués et proches du Parc en savent beaucoup plus qu'il n'imagine !

Se plaindre que Meddeb est un mauvais gestionnaire frise le ridicule notamment si on compare sa gestion de l'Espérance à celle de Tlemçani, le vice-président. Un voyage harassant en Afrique du Sud, vol régulier oblige, et une escale prolongée à Paris avant un match important, sinon décisif. Résultat des courses : Un nul face à l'EGS Gafsa et un titre de champion de ratée. Cela tient-il la comparaison avec le seul exemple du vol spécial à Cotonou après un score sécurisant de 5 - 0 et aucune obligation locale ? Et ce n'est pas tout. Tlemçani doit se souvenir d'une certaine finale de Coupe de Tunisie préparée à la légère avec des entrainements sur la pelouse synthétique de Korba et un barbecue la veille de la même finale. L'Espérance a festoyé avant la finale et l'ES Zarzis après.

Tlemçani semble aussi oublier la préparation de la saison 2005 - 2006 sans entraineur, assurée provisoirement par Belhassen Meriah en attendant que Mrad Mahjoub débarque. Le même Tlemçani n'a trouvé mieux qu'accuser Slim Chiboub d'avoir incité Daâmi à faire perdre l'Espérance face au nouveau promu Jendouba Sport au Kef !

Et le scandale du match d'Hammam-Lif, Tlemçani ne lâche pas prise ! Son discours nous rappelle les temps révolus des Adel Bouhlel et Boubaker Sghaier … et Mouna Missaoui, tant qu'on y est.

Et puis comment Zied se rappelle-t-il de tous ces scandales et oublie le scandale Hatem Trabelsi ? Le pire c'est qu'il veut rejouer le coup avec Darragi, selon quelques indiscrétions !

De toute façon, son CV est richement garni en scandales. Par exemple, les agissements de Tlemçani et ses milices avec Claude Andrey risquent d'être anachroniques en ces temps révolutionnaires. Ses machinations avec ses e-milices sur les sites et forums sportifs risquent de le discréditer encore plus aux yeux des Sang et Or. En plus, et à la connaissance des espérantistes, ce n'était pas Hamdi Meddeb qui a invité et accueilli le président d'Enyimba FC dans sa demeure la veille d'une certaine confrontation de demi-finale de la Champions League 2004 ! Pis, certains ultras, taxés d'être des pro-Chiboub, se rappellent de son groupe de supporters qu'il finançait pour les agresser physiquement, lorsqu'il était vice-président dans l'équipe de Zouhir. Pareille contribution à la division du public espérantiste est une œuvre inégalable. Arrêtons la liste ici pour le moment.

Volet recrutements, le Tlemçani qui déplore les recrutements des Bach Tobji, Otoo, Janvier, Roger, Souissi, Zrelli, Achour, Mbélé et Baghouli n'est certainement pas le Tlemçani qui a ramené au giron de l'Espérance Sami Belhaj Youssef, Valentine Nwabili, Emannuel Mathias, Damien Udeh, parmi d'autres. Ni était-il le Tlemçani qui a voulu chasser Michaël Eneramo de l'Espérance et le prêter à l'EOGK, n'eut été l'intervention de Karim Ghazi qui l'a aidé à sauver sa carrière en le proposant à l'USMA (Algérie). Encore moins le Tlemçani qui a réglé ses comptes avec les joueurs préférés de Slim Chiboub tel Skander Souayah et la fameuse liste des onze qui comptait, parmi d'autres, Mourad Melki !

Zied Tlemçani clôture ses récriminations par l'évocation de noms "exclus," dit-il, par Meddeb. N'étant pas au courant de toutes les circonstances, on se limitera à avancer que le travail de groupe nécessite une certaine compatibilité et que plein de noms ont pris la décision de partir tel Chokri El Ouaer – un départ qui nous a soulagé puisque dès sa première apparition sur les petits écrans après un certain O Béja – Espérance (2 – 0) il a fustigé les joueurs qui, selon ses propos, ne méritaient pas le maillot Sang et Or. Même si c'était le cas, ça ne devait pas faire l'objet d'une déclaration télévisée ! Kamel Zaiem s'est montré plus mur que celui qui était supposé l'encadrer au même titre que ses coéquipiers. Tarak Dhiab, avec tout le respect qu'on lui doit, à malheureusement réglé ses comptes personnels avec un ministre en usant de l'association sportive qu'il représentait !

Zied Tlemçani ne termine pas sans lancer une mise en garde finale contre la transformation de l'EST en entreprise, allusion faite au projet institutionnel 2019 bien que ça cadre avec une proposition de Tlemçani exprimée sur WMC : "agir sur les lois réglementant les associations sportives pour permettre à celles-ci d'être rentables."   

Zied Tlemçani, qui a saboté trois présidents Sang et Or, tous inaptes selon lui, risque de voir la même bannière d'une certaine finale de l'Arab Champions League qui a valu à Meddeb les réprimandes de l'ancien régime se dresser devant lui : "Hamdi Meddeb le présent et le futur."

 

Post-Scriptum

Quelques jours après les déclarations de Tlemçani à Al Chourouk, le même journal revient sur le dernier périple africain de l'Espérance, qui a coûté à Meddeb 270 mille dinars, et sur des contacts établis par Tlemçani avec des figures de la famille espérantiste ainsi qu'avec des journalistes pour solliciter leur soutien dans sa course vers la présidence de l'EST. Un journaliste, qui a refusé de se joindre à sa cause, par principe, rapporte Al Chourouk, a posé une question pertinente quant aux capacités de l'ex-joueur Sang et Or de couvrir de telles dépenses. La réponse donné par Zied était qu'il avait des connaissances et qu'il saurait les utiliser pour renflouer les caisses du club ! Entre quelqu'un qui est en train de vider de ses propres caisses pour l'Espérance et un autre qui chercherait dans les caisses des autres, le choix est, on ne peut plus, des plus clairs ! D'ailleurs Al Chourouk ironise en intitulant la deuxième partie de l'article : "Entre rêves et réalité" !

Tlemçani serait-il capable de garantir les ressources nécessaires pour un club de la trempe de l'Espérance ? Bénéficiera-t-il de l'adhésion de la famille espérantiste ? Les prémices d'une réponse sont déjà là; le jours à venir nous éclaireront quant au reste !