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CL 2012 - Maaloul : La ficelle sur le terrain, la concentration !


Le point de presse tenu aujourd’hui à Alexandrie par le coach Nabil Maaloul a été suivi par une assistance très importante des médias égyptiens et les représentants des médias tunisiens ayant fait le déplacement, et au cours duquel il a rappelé l’importance de cette première manche de la finale de ligue des champions, surtout qu’il s’agit de la 3éme finale consécutive que l’Espérance s’apprête a disputer, la deuxième du coach.

A propos des détails qui pourront faire la différence, l’entraineur en chef a déclaré : «seule la personnalité des joueurs et la façon dont ils vont gérer la rencontre fera la différence, les deux équipes se connaissent parfaitement et la rencontre a tout d’un derby. La concentration sur le terrain sera la seule ficelle de cette rencontre.

Ce sera un match très disputé techniquement, avec beaucoup de duels je cite : Wael Jomaa et Yannick, ou alors Achour et Mouelhi. Ce ne sera pas facile et le niveau technique variera suivant le score du match.»

Concernant l’absence de Youssef M’sakni, le coach a précisé : «Youssef était présent aux entrainements depuis le début de la semaine, son absence n’était pas prévisible. Cela va certes peser sur l’équipe mais on devra composer avec ça. On a déjà joué sans lui et nous avons eu de bons résultats, comme par exemple lors de la demi-finale aller face au TP Mazembe où il est entré en 2éme mi-temps, et où l’équipe avait fait une bonne première mi-temps.»

A propos du fait que les deux équipes sont en finale de ligue de champions avec des entraineurs locaux, Nabil Maaloul a indiqué : «ceci est encourageant pour les deux pays, néanmoins ce n’est pas aussi important que cela. Uun bon nombre d’entraineurs ont un bon niveau et ont réussi a hisser ces deux équipes en finale de ligue des champions.»

«L’Espérance est la meilleure équipe en Afrique», ont déclaré plusieurs entraineurs d’équipes adverses. A ce sujet, Nabil Maaloul a tenu a préciser que «nous devons remporter le titre pour être jugés comme telle. 180 minutes nous séparent du sacre, à nous de prouver sur le terrain que nous le méritons.»