La presse a, toujours, été la quatrième autorité d'un pays. Parce que
le mot était l'arme la plus dangereuse entre les mains de l'être
humain. Le mot avait déclenché la révolution française et le siècle des
lumières. Le mot est une arme à double tranchant. De son usage dépend
le succès ou la faillite de tous ceux qui gravitent autour de son
auteur.
En Tunisie, notre paysage médiatique s'est étendu ces
dernières années pour offrir une diversité d'espaces d'opinion. On en
aura vu de tous les types. L'écrit, l'audiovisuel et l'électronique.
Mais
cette multitude n'a pas été, contrairement à la nature des choses, une
source d'amélioration. On constate une dégradation quotidienne du
niveau journalistique Tunisien. Surtout dans le domaine sportif où des
journalistes clownesques se sont mis au services de certaines
institutions, à la recherche d'une renommée perdue, pour soutenir des
dogmes funambulèsques.
On assiste, de plus en plus, à un processus
de mystification exécrable qui fait sentir l'odeur de la putréfaction
(excusez l'expression!).
Mais, un média sort du lot ... dans le
mauvais sens. Le journal électronique "Attounissia" aura battu tous les
records de la malversation écrite. Groupe de journalistes ridicules
partisans de l'institution citée plus haut, ils se sont permis de
déclencher une campagne de dénigrement à l'encontre du rival éternel et
"frère-ennemi" : l'Espérance sportive de Tunis.
Chaque numéro de
ces bourriques de la désinformation, nous apporte désormais son lot d'impostures risibles qui
n'ont pour but que de semer la discorde au sein de la famille rivale.
Le tout, bien sûr, au service d'un rival qui n'a pu se faire un
palmarès honorable dans la concurrence loyale. Ce journal électronique,
bras médiatique du cher rival, n'est autre que la réflexion d'une haine
odieuse du giron de ce club envers l'Espérance. C'est sa réussite qui
les hante. Et, ils auront argumenté de tous les moyens. Ils ont avancé
le dogme de l'abus de pouvoir. "L'Espérance n'est-elle pas le club du
pouvoir?". Ils ont, ensuite, tablé sur les dissensions internes pour
finir, enfin, avec le favoritisme dont jouit l'Espérance parce qu'elle
a accepté de gracier la nation en lui sacrifiant son entraineur pour
une aventure, presque, perdue d'avance. Et oui, "Attounissia" s'est
même permise le luxe de douter du patriotisme des sang et or. Elle a
essayé de mystifier l'opinion publique sur les intentions de la famille
espérantiste envers la patrie.
Cela ne suffisant pas, ce média
corrompu s'est autorisé le plagiat pour se créer une crédibilité au
sein des supporters espérantistes. Mais, hélas pour eux, leur haine
envers l'Espérance était tellement grande qu'ils n'ont pu la cacher
sous le couvert de l'impartialité journalistique. Même leur plagiat
était mystifié. Ces brebis galeuses ont osé déformer des articles
copiés sur plusieurs sites internet (y compris le nôtre) et se les
approprier de façon à satisfaire les velléités obscènes du rival. Des
intentions odieuses qui émanent d'une pensée outrée vers la haine et la
tricherie.
Coup de gueule
Les bourriques de la désinformation
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