La Tunisie Sportive entière a été scandalisée l'exercice écoulé et notamment lors du play-off par l'arbitrage infamant du sieur mourad ben hamza à Radès du match de l'Espérance contre le CSS. Mandaté, désigné, protégé par son patron à l'époque le non moins triste hichem guirat roulant tous les deux pour l'ESS, ce sinistre personnage massacra l'Espérance à Radès croyant jouer le jeu de l'ESS selon les directives de son patron à la Direction Nationale de l'Arbitrage (DNA). Mais à l'arrivée ce fut le CSS qui en tira profit en coiffant les étoilés au poteau.
Mise au frigo du coupable
Outrés et scandalisés par cette mascarade sciemment montée par ce sinistre personnage, les responsables fédéraux furent contraints et acculés à le mettre au frigo. Une sanction qui fit une belle jambe à l'Espérance ayant été dépossédée honteusement de son bien, de son titre par une mafia vorace, vile, basse, mangeant à tous les râteliers.
Réapparition en douce du coupable
Voilà un mois, un laconique communiqué de la FTF annonça que ce mourad ben hamza serait responsable de la formation des jeunes arbitres ! Que pouvait-il leur inculquer sinon « l'art » de la magouille du marchandage ! Mais c'était un ballon d'essai histoire de sonder le terrain et de voir la réaction des clubs lésés par lui. Silence radio de la part de tout le monde pourtant nous avions averti qui de droit de pareils dépassements…
Toujours le même stratagème
La pilule avalée, le revoilà désigné pour les Hammam-Lifois contre l'OB avec distribution de pas moins de 6 cartons aux verts non justifiés. Et comme par hasard les banlieusards doivent se déplacer la semaine prochaine à Sousse !!!! Suivez le guide. Pourtant l'Etoile en grande équipe n'a nullement besoin de pareils cadeaux empoisonnés. Guirat parti, ceux qui l'ont remplacé ont gardé toujours la même approche douteuse avec comme objectif avoué « casser de l'Espérance » dans le coulisses car sur le terrain et footabllistiquement parlant elle leur est inaccessible. Nos responsables doivent se bouger et réagir rapidement car à ce rythme le risque de récidive du triste scénario de la saison écoulée se trame en douce dans les arcanes de certaines instances et de façon très précoce déjà… dès la quatrième journée !