Pour avoir les deux sons de cloche, nous avons joint le directeur du stade du 5-Juillet, Malek Abderrahmane, qui défendra mordicus la position de l'OCO. «Cela fait plus de deux ans que nous aidons le Mouloudia, mais notre patience a des limites. Il faut comprendre notre situation, nous avons 500 salariés qui veillent au bon fonctionnement du complexe et qu'il faudra payer. Le club doit nous octroyer 1,4 milliard de centimes. Nous réclamons au moins la moitié de cette somme, qui ne représente même pas la prime de signature d'un joueur, pour ouvrir les portes du stade olympique aux responsables mouloudéens.»
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